Le projet est né en 2020, mais les premières cultures ont été plantées en 2021. L’idée vient du centre social Bellevue-Sainte-Claire, plus précisément de Véronique Garraud, responsable d’accueil et responsable adjointe dudit centre social. Avec l’acquisition par Limoges Habitat de cette parcelle appartenant à la Métropole de Limoges, le jardin partagé de Bellevue-Sainte-Claire rassemble les habitants du quartier.
Patrick Guespin, membre du conseil des riverains et du jardin, explique que « l’abonnement est de 15 euros par an. Tout le monde peut venir planter. Pour le moment, nous n’avons que huit familles qui y travaillent. Le projet a mis du temps à se mettre en place, car au départ chacun voulait sa parcelle, mais tout est rentré dans l’ordre, raconte le jardinier. En effet, les récoltes sont réparties entre toutes les familles participant au projet. Le membre ne peut donc pas cultiver sa parcelle exclusivement pour lui, comme c’est le cas dans un jardin parcellaire.
Sommaire
« Nous cultivons de tout. Des tomates, des courges ou même des pommes de terre par exemple. Les semences nous sont données par le centre social Bellevue Sainte-Claire. Nous n’avons rien à acheter, sauf en cas de demande particulière », rapporte Patrick.
Les familles disposent d’une citerne de mille litres d’eau, récupérée lors de la pluie. Revers de la médaille du système, bien sûr : l’eau vient parfois à manquer, surtout en période de forte chaleur.
Un local dans le bâtiment adjacent est également disponible pour les jardiniers afin de stocker du gros matériel. Les outils sont fournis par le syndicat lui-même.
Accueil des enfants et des seniors
L’espace jardin est délimité par des piquets, mis à disposition par Limoges Métropole. Les espaces entre les parcelles sont remplis de branches d’arbres, qui doivent être remplacées de temps en temps. La barrière est donc naturelle. « Quand vous y allez, vous devez être au moins deux personnes. On veille les uns sur les autres et on s’entraide, explique Patrick avec un soupçon de sourire.
« Le jardin est également disponible pour les écoles primaires de la région. Les enfants se familiarisent ainsi avec certains fruits et légumes qui leur sont encore inconnus. « Nous comptons également accueillir des membres d’EHPAD et des personnes handicapées. Des bacs seront placés en hauteur pour faciliter le jardinage, indique Saïd, membre du centre social Bellevue Sainte-Claire.
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Cette mesure permet de pratiquer des travaux manuels, en plus de découvrir le jardin. « Vous n’avez pas besoin d’être jardinier pour faire ce que nous faisons. On ne fait pas non plus de miracles, on plante ce qu’on veut, dit Patrick.
« Ce jardin permet aux habitants du quartier de se réapproprier leur espace. C’est devenu un lieu de convivialité, mais surtout un lieu de rencontre pour quelqu’un qui ne se connaissait pas auparavant, raconte Mélanie Bernadac, déléguée du préfet à la politique de la ville de Limoges.
Aucune extension n’est actuellement prévue. Pendant ce temps, les volontaires et les familles peuvent déjà récolter leurs premières récoltes. L’espace est prêt à accueillir d’autres membres, intéressés par le jardinage, les travaux manuels et le partage
Daniel Deschamps est membre du jardin depuis deux ans. En plus d’aider, il s’occupe des structures en bois.
Les matériaux utilisés sont majoritairement récupérés dans des conteneurs à déchets ou des centres de recyclage. « Je le fais avec les moyens dont je dispose, et c’est plus que suffisant. Seuls les outils m’appartiennent, explique-t-il. « Avec un peu d’imagination, on peut faire beaucoup de choses. J’ai donc construit un banc et des bacs. Là je fabrique des chaises et une table, on ajoute un grand parasol et des coussins.
Ces aménagements rendent le jardin plus agréable, avec un point d’ombre supplémentaire, toujours apprécié en été.
Quel est le contraire de dormir ?
remuer. déplacer (quelque chose, une partie du corps, des éléments d’un décor, etc.)
Comment s’appelle dormir ? nom masculin. vieux ou didactique Sommeil : sommeil.
Quel est le contraire de manger ?
Manger a le contraire des verbes : vomir, rendre, ou familièrement vomir, dégobiller, quiche.
Pourquoi on met Se devant un verbe ?
Le mot se n’a qu’un seul usage dans la langue française : c’est un pronom personnel réfléchi. Il s’emploie systématiquement devant un verbe sous sa forme pronominale. En tant que pronom réfléchi, il fait référence au sujet du verbe, qui est nécessairement au troisième rang personnel du singulier ou du pluriel.
Quand read vient-il avant un verbe ? Avant un verbe « le, la, l’, les » sont des « pronoms personnels qui complètent l’objet direct » du verbe. Ce ne sont pas des sujets et ils ne modifient pas le verbe ! Pour s’accorder avec le verbe, il faut toujours chercher le sujet !
Comment expliquer ce et se ?
Ne confondez pas ce et voyez.
- On écrit ce lorsqu’il y a un déterminant ou un pronom démonstratif (â idée de désignation). Exemples : Ce crayon m’appartient. (…
- On écrit voir quand on a affaire à un verbe pronominal. Exemple : Armand pense qu’il peut tout faire.