Accor lance Orient Express et Croisières et commande deux…

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Written By MilleniumRc

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A la base du mât de Solid Sail, haut de soixante-dix mètres, qui a été hissé ce vendredi 13 janvier, au bout du port Atlantique, Laurent Castaing, Président du Port de Saint-Nazaire, a sauté bleu avec un casque imprimé sur son tête, il a le sourire. La marina a déjà signé avec Orient Express, filiale du groupe hôtelier Accor, une lettre d’intention pour la vente des navires de 220 mètres de long qui contiennent non seulement 54 chambres de 70m² mais aussi une grande suite présidentielle de 1 415 mètres carrés . dont 530 mètres carrés de terrasse privée, deux piscines, deux restaurants, un bar, une piscine, une bibliothèque, des espaces de divertissement, une bibliothèque, des chambres… Le summum du luxe et du lien aérien. Car derrière l’aménagement intérieur et la décoration confiés au designer Maxime d’Angeac et les lignes extérieures dessinées par l’agence nantaise Stirling Design International, c’est sous pression que ces « futurs » navires seront différents. Fort de l’expérience des acteurs de la course au large, Orient Express Silenseas intégrera le système Solid Sail, conçu par les Chantiers de l’Atlantique il y a six ans. Pour pallier ce problème technique et environnemental désormais maîtrisé, la R&D nécessitera un effort financier de 25 millions d’euros pour le port dans la transition énergétique.

Sommaire

Deux fois moins polluants

Chaque navire sera équipé de trois pressions et de trois râteliers, à charbon et à eau, d’une section de 1 500 mètres chacun, qui s’élève sur le puits à balestrand, permettant de s’incliner à 70° pour passer sous les ponts. Enfin à une hauteur de 100 mètres, ils permettront, selon les conditions météo et la bonne direction, un parcours 100% navigation pouvant atteindre 15 à 16 nœuds. Et de garantir, selon les données du constructeur, une économie de 30 à 40 % sur les émissions de CO2, soit environ la moitié de la quantité de carburant. Ces navires seront équipés de moteurs GNL, notamment pour les manœuvres dans les ports. Le groupe Accor envisage de passer à l’hydrogène lorsque la technologie et l’évolution le permettront. « La commande de ces deux navires a ouvert une nouvelle ère dans l’industrie de la construction navale. Combiné au développement de l’intégration qui roule au gaz naturel (GNL), le Silenseas sera donc un navire sur le plan environnemental », a confirmé Laurent Castaing, directeur général des Chantiers de l’Atlantique, qui a confirmé que certains armateurs internationaux et organisations internationales sont chercher ça. « Le monde de l’eau est petit. Depuis de nombreuses années, nous remarquons un signe d’intérêt pour les bateaux. C’est une révolution des chantiers. Cela pourrait être le début d’une nouvelle ère. S’il le faut, on peut faire beaucoup de choses, mais il est trop tôt pour prévoir », a déclaré Laurent Castaing. La technologie, en tout cas, peut s’adapter aux petits navires, de l’ordre de 70 mètres, navires, navires, navires, navires, avec quelques aménagements pour éviter les grues sur le pont. Ainsi, le chantier peut proposer des produits de gréement de différentes tailles. « Aujourd’hui, on a du vent, on va aller vite. », l’industrie manufacturière, même si la question de l’indus Identifier le produit se faisait attendre. La possibilité de construire une usine de production d’appareils intégrés et de navires carbone en Bretagne, qui comprend un pool de partenaires, ne sera pas Je ne pense pas maintenant. Même si le prochain opérateur de ventilateur Néoline disposera de deux accessoires, aucune décision d’investissement n’a été prise à ce jour.

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Deux fois trois millions d’heures de travail

La première livraison est prévue pour mars 2026. La suivante un an plus tard. Pour le chantier naval, dont le plan est achevé à 100 % jusqu’en 2025, ces deux bâtiments, dont le coût n’a pas été communiqué, représentent six millions d’heures de travail. Et quelque 35 000 heures de chaque presse, dont le prix est estimé à 6 millions d’euros pièce. Pour supporter ces charges de travail accrues, le port a déclaré qu’il embauche en permanence. Quatre cent cinquante personnes ont été embauchées en 2022, dont 50 % des travaux seront créateurs d’emplois. Comme beaucoup le seront en 2023.

De son côté, le groupe Accor, qui a également placé l’option sur deux autres navires, a assuré que « l’ensemble du projet est financé à hauteur de 70-80% par des banques commerciales, le reste est assuré par elle à travers un partenariat actionnarial qui être fournis par Accor. participer à la minorité ». Après beaucoup de plaisir, le bateau a mis les voiles !

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