Ces journalistes britanniques racontent leurs pires cadeaux de Noël

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Pour beaucoup, Noël est l’occasion de se retrouver en famille ou entre amis et d’offrir des cadeaux attentionnés. Mais « certains cadeaux sont si terribles qu’ils prennent instantanément leur place dans la légende familiale », rappelle The Telegraph. En cette fin d’année, le quotidien britannique propose de revisiter les pires cadeaux de Noël jamais reçus de ses journalistes.

Camilla Tominey dit que les cadeaux de son mari « ratent parfois la cible ». Du moins s’il pense à en acheter. Mais l’un d’eux est devenu inoubliable, « et pas vraiment dans le bon sens ». Un jour, alors que son mari aurait oublié de lui faire un cadeau, « il s’est surpassé en lui achetant un Marks & ; Spencer », dit-elle. Pas un gâteau entier, « mais le format miniature, impossible à diviser en plus de trois minuscules morceaux », précise Camilla Tominey.

Il y a des cadeaux qui font mal, et Celia Walden en a fait les frais. « Quand j’ai déballé le paquet doré, j’ai mis du temps à comprendre ce que je regardais », avoue le journaliste. Au moment où elle arrivait à Los Angeles, une nouvelle amie lui avait offert « un coupon pour un traitement de rajeunissement du visage au laser » chez l’un des meilleurs esthéticiens de la région.

Celia Walden se souvient avoir eu du mal à cacher sa surprise : « J’ai essayé de cacher le mélange de peur, d’incrédulité et d’hilarité qui m’a saisi pour montrer de la gratitude pour l’occasion. » Car sur l’idée, il ne lui est jamais venu à l’esprit de dissimuler ses rides. « Nous, les Britanniques, sommes plus à l’aise avec nos cous ridés, nos taches de vieillesse et nos pores dilatés que nos homologues californiens. »

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“Je l’ai soupçonné de m’avoir refourgué un cadeau”

Pour d’autres, un cadeau décevant peut devenir une tradition entre amis, dit Mick Brown. « John est mon plus vieil ami », dit l’auteur. « Mais nous n’avions pas vraiment de grands sentiments », dit-il, expliquant sa surprise lorsque John lui a offert un cadeau de Noël quelques années plus tôt. Caché sous l’emballage cadeau se trouvait un 45 de goût douteux. « J’ai immédiatement suspecté qu’il me transmettait le cadeau d’un vieux cousin », raconte Mick Brown.

Quelques mois plus tard, à l’approche de l’anniversaire de John, l’auteur a pris le vinyle qu’il avait reçu pour Noël « [l’a emballé] et [l’a donné à [son ami] ». Un retour qui n’a pas duré longtemps, comme le révèle Mick Brown : « Un Noël, John m’a offert un colis en forme de .45. Je n’ai même pas eu à l’ouvrir. »