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Deux études du Cediv font ressortir de profondes différences de comportement
En préparation de la convention de son réseau aux Caraïbes à bord du Seaside de MSC, le Cediv a réalisé deux études auprès, l’une, de ses clients, l’autre, de Français prêts à voyager. Il est intéressant de noter les différences profondes de réactions face au futur du voyage et d’en tirer des enseignements pratiques.
Tout le monde s’accorde à dire que la crise sanitaire n’a fait qu’accentuer le changement de comportement devant la prise de conscience de l’écologie, l’empreinte carbone du mouvement, et le changement des attentes. 
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Faut-il se focaliser sur l’expression des besoins futurs ou se pencher de manière pragmatique sur les attentes des clients revenus dans les organisations ? 
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L’écoresponsabilité ne culpabilise pas les clients
La première étude a été réalisée par le Cediv auprès d’une centaine d’organismes de son réseau pour analyser le comportement des clients qui franchissent le seuil du magasin. 
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La reprise effective des volumes d’activité aurait surpris quiconque prédisait la fin du long terme. La vérité est que ceux qui aiment voyager ne veulent pas se priver.
Certes, ils le feront de plus en plus au dernier moment car les organisations constatent une augmentation des ventes de dernière minute (81%). Certes, la morosité se propage encore un peu pour les Français, qui justifient leur décision finale par un manque de confiance dans l’avenir du passé (55%) mais aussi par les problèmes de pouvoir d’achat (22%).
Les intentions exprimées par un public plus vaste tranchent nettement, qu’en penser ?

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On voit déjà que la réduction du budget voyage n’est pas la première raison et les clients qui franchissent le seuil de l’organisation ne comptent pas tous leur argent. 
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S’ils veulent économiser de l’argent, il vaut mieux partir souvent mais ne pas se disputer sur les trajets effectués. Il y aura plusieurs « bons fichiers » bien qu’ils soient peut-être moins nombreux.

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Au final, le souci de l’environnement réside en eux, certes, mais est-ce un frein au mouvement ? Plus des deux tiers disent non. L’éco-responsabilité ne les culpabilise pas. De plus, lorsqu’on leur demande s’ils refuseront de prendre l’avion pour des raisons environnementales, 80 % répondent que non, il y en a quelques-uns qui chercheront d’autres moyens de transport.
La deuxième étude présentée par le Cediv de l’institut Ipsos concerne 1 000 Français en âge de voyager qui ont exprimé leur intention de le faire dans les mois à venir.

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