L’état du marché immobilier en octobre 2022
Les prix des produits continuent d’augmenter, tandis que les volumes de ventes ont régulièrement diminué au cours de l’année écoulée. Voici les chiffres clés du marché immobilier selon le baromètre FNAIM-Clameur pour octobre 2022, alors que la répartition des crédits immobiliers se resserre face au problème d’usure permanente. Hausse des prix de l’immobilier sur fond de ralentissement des ventes Sur un an au 1er octobre, les prix des maisons existantes ont augmenté de 6,7%, contre 8,2% début avril 2022. La hausse est plus sensible dans le secteur du logement (+8,5% ) que dans celui des maisons. 4,4 %). Hormis Paris, où les prix ont baissé (-2,7 %), ils augmentent partout en France depuis septembre 2021. Il existe cependant des différences régionales : ils progressent davantage en banlieue parisienne (+2,4 %) et dans la capitale. villes (+3,6 %) que dans le reste de la France où les prix ont augmenté de +7,8 %. Si l’on ne parle plus d’effet Covid, la sélection des petites et moyennes villes, ainsi que des zones rurales, continuera de jouer, notamment du côté ouest. Zone géographique 1 mois 3 mois 1 an 2 ans 5 ans France ensemble (maisons + maisons) 1,1 % 1,8 % 6,7 % 13,9 % 26,8 % France séparément. 0,9 % 1,1 % 4,4 % 10,6 % 24,9 % Ménages France 1,3 % 2,3 % 8,5 % 16,5 % 28,3 % Ile-de-France ensemble 0,6 % 0,2 % 1,1 % 3,7 % 19,7 % ÎdF séparément. 0,7 % 0 % 0 % 1,7 % 18,7 % Ménages ÎdF 0,4 % 0,8 % 4,2 % 9,9 % 22,7 % province dans son ensemble 1,2 % 2 % 7,8 % 16 % 28,3 % Province séparément. 0,9 % 1,5 % 5,9 % 14,1 % 27,6 % maisons de province 1,4 % 2,4 % 8,9 % 17,2 % 28,7 % Le nombre de ventes sur 12 mois est un contrat, restant à un niveau élevé. Il devrait être inférieur à 1,2 million. Pour mémoire, l’année 2021 s’est achevée sur un volume record de 1 177 000 transactions. Le marché hypothécaire stagne L’inflation immobilière semble donc avoir ralenti depuis avril, par rapport aux coûts d’emprunt. Ce n’est pas une nouvelle hausse de prix au 0 octobre 2202 qui sera instaurée Suivez ces étapes. Selon l’Observatoire Crédit Logement, toutes époques confondues, la moyenne s’établissait à 1,88% en septembre 2022 (hors coût de l’assurance-crédit et hors coût des titres), contre 1,04% l’an dernier. Le taux moyen continue de grimper à 1,78% au T3 2022, contre 1,40% au T2 2022 et 1,05% au T4 2021, son plus haut historique. Une forte hausse des taux d’intérêt, après inflation et évolution de l’OAT 10 ans, est pénalisante pour les demandeurs de crédit, car elle se heurte à l’usure des taux. Les banques ne peuvent pas réviser les taux de prêt offerts aux ménages en raison des conditions financières dues à la réglementation des prêts. Réévalués chaque trimestre par la Banque de France sur la base des TAEG moyens émis au cours des trois derniers mois, les prix des vêtements restent fixes pendant un long trimestre, empêchant ceux qui veulent acheter des propriétés d’obtenir un prêt bancaire ou un événement supplémentaire. . une forte baisse des coûts d’emprunt. Du coup, on constate une baisse significative du nombre de crédits en septembre 2022 : -27,7% sur un an et même -34,7% sur les seuls mois d’août et septembre sur un an. Clôturée avec intérêt 2022, l’hypothèque n’est plus utile aux banques. Ils veulent arrêter de distribuer de l’argent au lieu de prêter à perte ou avec un petit montant. Leur idée d’accélérer la hausse des taux d’intérêt en 2023 serait de calculer les taux officiels sur la base des crédits immobiliers et non plus sur les prêts effectivement émis.