Mécaniquement, le taux de dégâts augmentera à partir du 1er janvier 2023. Cette révision devrait permettre de relâcher la tension sur les crédits immobiliers, qui dure depuis plusieurs mois et stoppe de nombreuses activités. Profitez de cette opportunité sans tarder, car la fenêtre d’opportunité peut se fermer rapidement avec la hausse des taux d’intérêt.
Sommaire
Production de crédits immobiliers à l’arrêt fin 2022
La question des intérêts sera l’année 2022. Depuis juin dernier, en raison de l’augmentation rapide des taux d’intérêt, le système d’intérêt est devenu obsolète et bloqué. Calculé chaque trimestre par la Banque de France sur la base du TAEG (Taux Annuel Effectif Global) moyen et majoré d’un tiers, le taux d’intérêt de l’emprunt national vient rapidement s’ajouter à la hausse constante du taux d’emprunt, provoquant un effet ciseau effrayant.
Pris dans les saisies immobilières, les emprunteurs immobiliers se voient refuser des hypothèques, même si elles ne sont pas en cause. Cependant, le taux de crédit, dont le niveau ne peut empêcher l’accession à la propriété, devrait être plus élevé si les banques ont toute latitude pour augmenter leur solde du fait de l’augmentation de la monnaie (coût des fonds et taux de refinancement). Ils sont également punis par les dommages, qui constituent un plafond de verre inaltérable depuis trois mois, quelle que soit la hausse quotidienne des taux d’intérêt.
Le résultat est sans appel : les banques ont clôturé le formulaire de prêt immobilier en décembre 2022 en attendant le retour d’intérêts suffisants sur les nouveaux emprunts et certains se demandent si on pourra emprunter en 2023.
Le taux d’usure à 3,60% en janvier 2023 ?
La révision des taux d’intérêt au quatrième trimestre 2022 a ouvert une courte fenêtre d’opportunité pour les crédits immobiliers. Le taux légal moyen est fixé à 3,05 % pour les prêts de 20 ans et plus et à 3,03 % pour les prêts à court terme. Selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, le taux moyen sur 20 ans s’est établi à 2,09 % en octobre, avant de remonter à 2,25 % en novembre. Le Baromètre de décembre témoignera sans doute de la dégradation de l’environnement du crédit, mais force est de constater que les exclus du crédit immobilier sont encore plus nombreux en décembre 2022 en raison du nombre de défauts de paiement.
La probabilité d’obtenir un prêt bancaire diminue à mesure que le montant du prêt augmente. Parce qu’en plus du taux d’intérêt s’ajoutent tous les autres frais associés à l’obtention d’un prêt hypothécaire :
La marge de manœuvre pour intégrer tous ces frais dans l’APR est réduite en quelques semaines, jusqu’à ce qu’elle devienne trompeuse. La hausse des taux d’intérêt au 1er janvier 2023 devrait rouvrir la possibilité d’emprunter. Selon l’annonce faite par François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, dans les colonnes du Journal du Dimanche le 17 décembre, le nombre d’usures devrait se voir « en augmentation à fin décembre », ce qui conduira à une hausse comprise entre 50 et 55 points selon les experts, soit le taux de détérioration de 3,6% des prêts à 20 ans et plus. Confirmation dans quelques jours.
Ne laissez pas le temps passer si vous avez un projet de construction en cours. Présentez ou représentez votre portefeuille financier dès le début du mois de janvier 2023 pour profiter de la révision des taux d’intérêt, qui peut devenir invalide si le taux de prêt continue d’augmenter. Des taux supérieurs à 3% sont attendus à partir du premier trimestre 2023, et la prévision les porte à environ 3,50% au printemps prochain.
Rappelons que les conditions du prêt en 2023 seront les mêmes que celles remportées en 2022 :
Il faut aussi respecter les règles d’offre de cadeaux :
La banque calcule la valeur estimée de la durée de vie restante. Les profils riches pourront emprunter avec une marge de 35%, tandis qu’une personne aux revenus les plus faibles affichera le montant de la dette en dessous du niveau fixé afin de pouvoir obtenir un prêt bancaire.
Dernières publications
Assurance emprunteur : un déficit d’information pointé par le CCSF
L’incapacité à souscrire à un contrat d’assurance est un problème récurrent. Il en va de même pour l’assurance de prêt, produit complexe pour le consommateur non averti. Une étude récente publiée par le Financial Sector Advisory Committee a mis en évidence le manque d’accès aux informations des clients, un problème pas toujours lié à une mauvaise lecture du contrat. Une information insuffisante en assurance de prêt Le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) a récemment publié une étude sur l’assurance de prêt. Ce rapport réalisé par les sociétés Actélior et Minalea suit les différentes activités menées par le comité sur ce produit important dans le contexte du crédit immobilier. Le premier rapport du CCSF sur l’assurance-crédit a été publié en novembre 2020, faisant état de désaccords entre experts (bancassureurs et alternatifs) sur l’évolution de son dispositif, avec des recommandations en octobre 2021 sur la déclaration de garantie. invalidité et primes. L’enquête a porté sur 55 contrats bancaires et autres contrats de groupe représentant 57 % du marché. Son objectif est de « dresser un tableau complet des garanties sur le marché de l’assurance emprunteur et de mettre en évidence, pour le consommateur, les éventuelles restrictions ou exclusions de garanties qu’il doit confirmer avant de s’engager ». L’assurance de prêt est un produit compliqué pour le consommateur lorsqu’il s’agit de comprendre les garanties et les exclusions. Les paiements de garantie doivent être effectués délibérément pour éviter toute déception lors de la demande de prestations. Malheureusement, l’assuré ne connaît l’étendue de la garantie qu’au moment du sinistre, lorsqu’il n’a pas reçu l’indemnité qu’il attendait. L’erreur des clauses contractuelles générales n’est pas toujours en cause. Les modalités de mise en place d’une garantie d’assurance prêteur ne sont pas toujours claires. Définition de la garantie en assurance de prêt Par exemple avec la notion de garantie pour toute cause qui permet le versement du capital restant quelle que soit la cause du décès. 84% des contrats bancaires et 100% des contrats alternatifs ne sont pas ils devraient l’aborder simplement et clairement. Même problème avec la couverture santé et risques des IPP (Invalidité Permanente Invalidité Partielle) : 34% des contrats étrangers alternatifs et 25% des offres bancaires ne mentionnent pas le mot maladie. Concernant le mot risque, il faut être prudent, car le sens varie d’un prestataire à l’autre, et souvent il diffère de l’esprit. Défini dans le dictionnaire comme « un phénomène qui nuit plus ou moins aux personnes ou aux choses », le concept de risque devient de plus en plus restrictif chez les assureurs. Certaines exigent le caractère « imprévisible » voire « soudain et brutal » de la catastrophe, d’autres exigent que l’accident soit « directement et exclusivement » causé par une cause extérieure. Il faut lire entre les lignes que l’accident qui trouve son origine dans le fait même de l’assuré, même involontaire, ou dans son état de santé, n’ouvrira pas droit à indemnisation. Tomber dans votre jardin ou manquer la dernière marche de votre escalier n’est donc pas considéré comme une cause extérieure. Cela réduit fortement et volontairement la taille de l’indemnisation. Quant à l’exclusion des garanties liées aux conséquences de la guerre, de la rébellion, du vandalisme ou du risque nucléaire, elles sont absentes dans 8% des contrats étrangers et dans 25% des contrats bancaires alternatifs.
Immobilier : tout ce qui change en 2023
Chaque année apporte son lot de changements dans la richesse. Après les biens de consommation positifs de 2022 malgré un environnement politique et économique pollué, des changements structurels s’imposeront à tous en 2023, que vous soyez acheteur, vendeur ou investisseur. Interdiction de louer des climatiseurs L’enjeu des énergies renouvelables est au cœur du marché immobilier. Avec la loi d’août 2021, l’État vise la suppression progressive des sources froides d’ici 2034 et ambitionne de créer des maisons basse consommation d’ici 2050. Dès janvier 2023, les pires maisons labellisées G sur le barème DPE (Projet Efficacité plus de 450 kWh/m2 par an en énergie finale, ne peuvent pas être proposés à la location. 90 000 propriétés seront touchées. Le reste des maisons de classe G doit disparaître du marché locatif en janvier 2025, et l’interdiction touchera les maisons de classe F en 2028. Au total, environ 5 millions de maisons économes en énergie doivent être rénovées ou risquent de partir en location, ce qui cela ne sera pas sans poser des problèmes à l’offre de logements existants. Depuis le 24 août 2022, la Loi Achat impose un gel des loyers pour les appartements classés F ou G, tout en protégeant les locataires de l’inflation en plafonnant le taux de location à 3,5% des appartements (2,50% des pays étrangers). Encourager l’aide à la rénovation La mise en place d’une réglementation dans le secteur locatif vise à inciter les propriétaires à rénover leur bien. MaPrimRénov’ le régime de la structure fixe s’adresse à tous, propriétaires ou locataires, résidents individuels ou collectifs. Depuis juillet dernier, la caution de MaPrimRénov est facilitée par un prêt à taux zéro. Il suffit désormais d’envoyer l’annonce de l’offre de MaPrimRénov’ à la banque qui a signé une convention avec l’Etat pour solliciter l’éco-PTZ. L’Eco-PTZ permet ainsi la réalisation du reste à régler après l’aide de MaPrimRénov’ il a donné. Ce prêt sans intérêt permet de financer jusqu’à 50 000 € de travaux et MaPrimRénov’ couvre près de 90 % du coût des travaux pour les ménages modestes. Ceux qui envisagent d’acheter leur première maison en 2023 peuvent intégrer ces outils dans leur projet. La création de Pinel + Le dispositif Pinel tel que nous le connaissons aujourd’hui sera mis en place avant sa disparition en décembre 2024. L’avantage fiscal est réduit une première fois en janvier 2023, puis une seconde fois en janvier 2024 avant l’échéance. Les maisons loi Pinel louées depuis plus de 12 ans vous permettront de réduire vos impôts de 17,5% en 2023 et de 14% en 2024, contre 21% actuellement. En quête de bonnes maisons en ligne de mire, la députée a pourtant créé Super Pinel ou Pinel+ qui, à partir de janvier 2023, permet le stockage des carottes fiscales à pleine valeur. Découvrez tous les avantages du Pinel+ en 2023. Prix PTZ 2023 Les primo-accédants ont accès à un Prêt à Taux Zéro ou PTZ pour acquérir une grande résidence. Comme Pinel, l’avenir du PTZ en 2023 est pour le moins incertain, mais il a finalement été reconduit jusqu’à fin 2023 dans les conditions actuelles. Pour acheter en neuf, le PTZ peut couvrir jusqu’à 40% du coût total d’exploitation dans la plupart des régions (A, A bis et B1) et jusqu’à 20% dans les autres régions (B2 et VS). Il peut également être proposé dans le cadre de l’achat d’un ensemble en zones B2 et C, sous condition d’un projet important permettant de changer de classe énergétique (au moins 25% du projet total). Cependant, une question reste en suspens : pourrons-nous emprunter en 2023, si les autorités des Institutions Financières n’assouplissent pas les règles d’émission des crédits immobiliers et ne réforment pas le système des taux d’intérêt ? Suppression de la taxe foncière Le projet de loi de finances 2020 a introduit la suppression de la taxe foncière sur la résidence principale. Depuis le début de l’exercice 2018, ce déficit s’est progressivement étalé jusqu’à son expiration en janvier 2023. A partir de l’année prochaine, il n’y aura plus Il y a des ménages qui paieront cette taxe, qui doit être payée en fonction de leurs revenus. Cette exonération ne s’applique pas aux résidences secondaires. En revanche, il n’y a pas de crédit d’impôt sur la taxe foncière. Après une forte hausse en 2022, les taxes foncières augmenteront à nouveau de 7% en moyenne en 2023.
Immobilier : comment réussir son premier achat en 2023 ?
L’achat d’un bien immobilier est une entreprise qui dure toute la vie. Les primo-accédants sont souvent jeunes et inexpérimentés dans ce domaine, et obtenir un prêt bancaire est pour le moins semé d’embûches. Voici quelques conseils pour vous aider à faire votre premier achat immobilier. Choisir le bien immobilier La recherche d’un bien immobilier est précédée de deux étapes importantes : la définition de vos besoins : acheter une grande résidence ou acheter une location ? Acheter du neuf ou de l’ancien ? Ville ou campagne ? déterminer votre capacité de crédit, c’est-à-dire le montant que vous pouvez emprunter pour faire fonctionner votre entreprise. Ces deux paramètres guideront votre recherche et vous éviteront des visites inutiles dans des logements qui ne correspondent pas à votre situation et à votre budget. Les agences immobilières apprécient les clients qui savent où aller. Pour chacun, le temps est précieux et une vision claire du processus d’achat permet d’atteindre rapidement les objectifs. A moins d’avoir une bonne connaissance des métiers de l’immobilier et de savoir négocier de personne à personne, faire appel à un professionnel permet de profiter des conseils que l’on connaît ; cependant, les frais de commission devront être inclus dans votre budget. Une fois votre solvabilité connue, vous pouvez orienter votre recherche vers les propriétés qui correspondent à vos besoins. Quel est le solde du prêt en 2023 ? Il ne vous échappera pas que les taux d’intérêt ont sensiblement augmenté en 2022. A fin décembre, le taux moyen du marché était proche de 2,50% (hors assurance de prêt et frais de sécurité), contre 1% l’an dernier, et nous sommes sur la bonne voie avec certitude à un taux supérieur à 3% à l’été 2023. L’évolution du taux de prêt s’impose à votre capacité d’emprunt, qui diminue à mesure que le prix augmente s’il n’y a pas d’augmentation des revenus. La simulation de réduction de c en janvier 2023 devient rapidement obsolète le mois suivant, vous obligeant à ajuster en permanence le montant que vous pouvez emprunter. C’est la croix du pèlerin : ajustez toujours votre travail d sur l’évolution des conditions de crédit. Les banques étant également soumises à la réglementation des crédits, vous ne pouvez pas emprunter plus de : 35% de prêt, tous crédits compris, assurance de prêt comprise ; 25 ans, sauf pour acheter dans le neuf (VEFA) ou dans l’ancien avec un gros travaux (au moins 25% du montant des travaux) où la jouissance du bien après le déblocage de l’argent permet de s’endetter. à l’âge de 27 ans. En tant que premier acheteur, la banque peut ignorer ces règles et vous accorder un prêt du côté des limites établies. Cette flexibilité s’applique vraiment à l’achat d’une grande résidence, et la solidité de votre portefeuille dépendra de la générosité du prêteur. L’accompagnement des courtiers s’avérera à nouveau important en 2023 pour augmenter vos chances d’obtenir votre prêt bancaire. Ces règles de donation ont renforcé l’exigence de donation individuelle. Il est difficile pour un jeune primo-accédant de réunir une épargne généralement modeste. L’année 2022 sera également marquée par les dons privés partout en France, qui représentent désormais près de 20% du chiffre d’affaires. A cela s’ajoute l’obligation de maintenir une provision de précaution (au moins égale à 6 mois de paiement) pour indemniser un éventuel préjudice. Il faut aussi savoir que la cote de crédit est calculée pour obtenir votre prêt : dans le cas d’un achat dans l’ancien immeuble, les banques doivent dissoudre le coût de chaque travaux de réparation dans le prêt. Faire une demande d’aide nationale Pour acheter une première habitation, vous pouvez bénéficier d’une aide publique à l’entrée, à condition que cela se produise pour la résidence principale : PTZ (Prêt à Taux Zéro) qui est accepté en complément du prêt d’al’ et une autre qui permet de gagner jusqu’à 40% du montant du projet ; PEL (Prêt Épargne Logement) : verra-t-on un retour du PEL grâce en 2023 ? Avec la hausse des taux d’intérêt, les taux des prêts via les Plans d’Epargne Logement sont à nouveau compétitifs. Le PAS (Prêt d’Accession Sociale) délivré à titre expérimental ; Prêts immobiliers e (anciennement 1% Logement) réservé aux salariés du secteur privé. Cette aide financière réduit le recours aux prêts classiques, plus onéreux, et renforce votre solvabilité. Ils peuvent être ajoutés grâce aux coups de pouce de la communauté. Cliquez sur le Guide d’aide à la propriété d’Anil pour savoir si votre comté et votre département peuvent vous aider à devenir propriétaire. Pensez aux frais supplémentaires Si vous envisagez d’acheter un appartement dans une résidence, vous devez connaître les charges annuelles (assurance de l’immeuble, redevances de fiducie, entretien et nettoyage des parties communes, chauffage commun, ascenseur, etc.) et les inclure dans votre de l’argent pour votre plan. Le vendeur doit vous donner accès au manuel d’entretien et aux informations générales de montage qui précisent les travaux ou réparations envisagés, ainsi que leur coût. Autre coût à prendre en compte lors de l’achat d’un logement, les taxes foncières, qui bondiront de 7% en moyenne en 2023. Mais les énergies renouvelables sont une solution pour baisser les taxes foncières : 453 communes proposent des exonérations partielles ou totales par rapport à la mise en place de projets d’économie d’énergie. . Courtier en assurance de prêt immobilier Enfin, l’assurance de prêt, un coût difficile pour tous ceux qui financent leur achat à crédit. Par obligation légale, il fait malheureusement partie du prix inclus dans le TAEG (TAEG International), indiquant la valeur finale de votre prêt, et il mesure le tiers moyen de ce prix. En utilisant votre droit de choisir un contrat d’assurance libre, vous pouvez baisser le taux par deux ou trois, et économiser des milliers d’euros sur la durée du prêt. A assurances comparables, l’assurance fournie par les prestataires de services étrangers est moins chère que le système bancaire. Parmi les avantages des agents en assurance prêt hypothécaire, il y a aussi la possibilité de se faire conseiller par un courtier spécialisé pour en tirer le meilleur parti. Et si vous ne pouvez pas prendre votre assurance choisi lors de votre demande de prêt, vous bénéficiez de la loi de Lemoine un jour après la signature du prêt. Ce dispositif permet de changer d’assurance de prêt à tout moment, sans attendre la date d’échéance, et de souscrire rapidement à un plan de protection moins cher et plus proche.