Il a perdu tous ses points de licence en raison de la mauvaise réputation de quelqu’un d’autre et d’un bogue administratif

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Written By MilleniumRc

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Patrick Galéazzi est sur le point de perdre son permis de conduire. Cependant, il n’a pas commis d’infraction routière. Suite à une erreur, ce Lotois voit ses points déduits à la place de son nom Patrick Galazzi de Charente. Lotois est coincé dans une situation omniprésente.

Lorsque Patrick Galéazzi a reçu un courrier du ministère de l’Intérieur le mardi 12 décembre 2022, Lotois s’est dit « super ! Ça va bouger ». Mais après avoir ouvert l’enveloppe, les Lotus déchantent rapidement. « Les amendes sont payées, c’est-à-dire qu’elles ont été acceptées. Ils pensent qu’ils ne sont pas compétents pour mon problème », a déploré le retraité de 62 ans. Car depuis septembre 2022, Patrick Galéazzi est piégé dans une spirale infernale, dont il ne peut sortir.

Cette lettre du ministère de l’Intérieur explique à Patrick Galéazzi qu’il est incompétent pour son problème.

© Patrick Galeazzi

Il s’est rendu compte qu’il ne lui restait plus que 4 points sur son permis de conduire alors qu’il n’avait commis aucune infraction routière. En vérité, les habitants de Saint-Perdoux voient leurs pointes retirées à la place d’une du même nom située en Charentes. Un certain Patrick Galazzi est également né le 11 décembre 1960. « Je n’ai pas payé les amendes, se plaint Lotois, c’est mon nom de Charente. Mais les points sont vraiment à moi ! ».

Face au problème, Patrick Galéazzi alerte la préfecture de Charente-Maritime, qui l’envoie au ministère de l’Intérieur, qui le redirige vers l’Antai (Agence nationale de traitement automatisé des délits), qui lui conseille de contacter le ministère. A l’intérieur… « Ils balancent la patate chaude, si je le dis moi-même » grommela le chauffeur du Lot.

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Pris dans une situation ridicule, il se rend à la gendarmerie mais impossible de porter plainte, car s’il y a vraiment une erreur de l’administration, il n’y a pas d’usurpation d’identité.

Le nom de Patrick Galéazzi a écrit une lettre expliquant la situation grotesque. Sans succès.

© Patrick Galeazzi