En juillet dernier, Michael a volé sa voiture. Après cela, les voleurs ont un accident et sa voiture est en mille morceaux. Depuis, son assurance refuse de le rembourser intégralement, soupçonnant un vol. Cependant, il a fourni tous les documents demandés.
Pour gagner sa vie, Michael conduit des bus. Et pour transporter sa jeune famille, ce père de famille de 29 ans roule en Renault Mégane. Mais ça c’était avant. En juillet dernier, le premier jour de ses vacances, Michael s’est comporté lors d’une soirée entre amis. La fête continue. Il se couche vers trois heures du matin, et quand il se réveille, sa voiture est partie. Ses clés aussi.
Il finit par la retrouver, brisée, au milieu de la route. Les braqueurs sont toujours sur les lieux, pris en charge par les secours. Sa voiture, achetée d’occasion deux ans plus tôt, est en mille morceaux.
Le jour même, Michael porte plainte, puis alerte son assurance. Et c’est là que ça se complique. La confirmation directe commence à entourer Michael, lui demandant de temps en temps de nouveaux documents.
L’assureur veut vérifier qu’il s’agit bien d’un vol
La seule limitation est le manque de pénétration. Parce que Michael s’est fait voler ses clés de voiture pendant qu’il dormait. L’assurance est donc prudente. Sa voiture étant hors d’usage, Direct Assurance lui prête une voiture. Mais cela ne dure que trois semaines. Et depuis, ce père de quatre enfants doit se débrouiller.
Après avoir initialement refusé, Direct Assurance a fini par lui verser 2 225 €, bien loin des 9 000 € que valait la voiture avant l’accident. L’assureur a besoin du rapport de Michael, qu’il n’a pas à fournir. Il a envoyé le récépissé de sa plainte mais l’entreprise veut s’assurer qu’il s’agit d’une arnaque. Il a donc demandé le document aux tribunaux et cela a continué.
Mais grâce à notre intervention, l’assurance accepte tout de même de verser environ 3 700 € de plus à notre commissaire aux comptes, sans attendre l’arrivée de ce fameux document manquant.