Le port de Marseille veut ancrer les croisières de luxe sur la D4

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Written By MilleniumRc

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Début décembre, le Grand Port Maritime de Marseille a lancé un appel à l’action pour le département J4, dont il est propriétaire. Un lieu qui imagine une sorte de port de plaisance dédié aux croisières et aux bateaux.

Le port « avec un dictionnaire des bâtiments modernes », « ombrière ou pergola » qui longe les flots, accès aux bateaux et limousines, espace pour les « événements VIP » et enfin, la clôture, qui ne s’ouvre que lorsqu’elle est disponible. pas d’arrêt. Pour l’avenir du J4, esplanade devant le Mucem, le port de Marseille a une idée précise : il veut un port de luxe. Le but? Accueil et mise à niveau « petits bateaux et gros bateaux » sur place. Compréhension : voyages cinq étoiles en bateau.

« Le Grand Port Maritime de Marseille (GPMM) dispose d’un espace privatif de 20 000 m² combiné à 2 grands quais à proximité directe des bâtiments historiques et emblématiques de Marseille dans le segment Major J4, écrit le port dans un l’appel au concours était publié début décembre sur son site internet et diffusé par nos confrères de TPBM. suggestion, cet appel à candidatures consiste à trouver un salarié de ce lieu d’ici 2026.

Sommaire

Cinq opérateurs “très intéressés”

Cinq opérateurs “très intéressés”

Cet « utilisateur », prédit le GPMM, pourrait être un expert de la flotte ou un groupe d’acteurs. Tout ce qu’il fait, c’est qu’il a au moins cinq navires et s’arrête en Méditerranée occidentale. Ce batelier peut comprendre un « porteur ». Comme son nom l’indique, c’est une société qui gère la station. C’est le cas par exemple du port de Marseille Provence (MPCT), au nord du port. Celui-ci est géré conjointement par les armateurs MSC et Costa, qui ont créé une société pour le festival.

Jean-François Suhas, président du club naval de Marseille, a déclaré : « Il y a une dizaine de candidats, internationaux et nationaux que vous connaissez très bien, mais cinq ou six sont très intéressés. » Actuellement, les deux navires intégrés au projet sont majoritairement dominés par des navires de Ponant, une société de yachts de luxe sous pavillon français, spécialisée dans le transport de fret. Marsactu l’a contactée, il n’a pas répondu dans le délai imparti pour publier cet article.

Une centaine d’escales à l’horizon 2030

Une centaine d’escales à l’horizon 2030

« Comme les bateaux Ponant, propriété de Silversea [une filiale du groupe Royal Caribbean des Etats-Unis, qui se revendique du « luxe durable », ndlr] ne sont pas neutres en émissions et ne dépassent pas une centaine de mètres Non. Pour cela projet, nous regardons ce qui est le mieux pour l’environnement et nos clients », a déclaré un représentant du Cruise Club. Jean-François Suhas cite également l’exemple de Seabourn, qui fait partie du groupe Carnival et dont le siège social, comme Silversea, est à Miami. En tout cas, le président du Marseille Cruise Club y voit une belle opportunité économique pour la ville et le port.

Pas seulement les bagages, la quantité et les passagers. Le développement de ce type de navire répond au plan stratégique 2025.

Philippe Maurizot, ancien élu de la région

Selon l’appel au concours, 40 arrêts sont prévus pour la première et la deuxième année d’exploitation, 80 pour les troisième et quatrième années et « au moins 100 » pour les années à venir. « N’oublions pas que la vocation du port est de récolter de l’argent pour le restituer à l’actionnaire principal, l’État, du côté de l’étude Philippe Maurizot, représentant, Provence-Alpes-Côte d’Azur sur le port autonome. Non. juste du fret, de la quantité et des passagers. Le développement de ce type de navire est une réponse au plan stratégique de 2025. Il faut diviser les centres de profit. » En matière d’activités « super yachting », c’est également prévu dans cette zone, même si elle n’est pas conçue comme prioritaire.

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“Aujourd’hui, les yachts ne viennent pas”

“Aujourd’hui, les yachts ne viennent pas”

Sur ce chantier à la recherche d’un locataire digne de ce nom, GPMM a la bonne vue des surfaces qu’il souhaiterait voir s’installer. Le port, au cœur du projet, doit être « le plus important en cohérence avec les enjeux culturels et paysagers urbains ». Le GPMM fait donc référence à la Major, dont l’architecture n’empêche pas forcément la vue sur la mer, au J4 et à l’esplanade, qui veut « maintenir la paix et la prendre comme un grand espace public sans s’inquiéter » et un boulevard. Jacques-Saadé, qui est sur la route de La Joliette. Ce port, qui s’étendra sur 1000 m² et des éléments de façade qui doivent traiter des équipements et des couleurs spécifiques, doit pouvoir accueillir 200 passagers à la fois (1200 au-dessus de la journée). Il sera divisé en deux parties, une pour la gestion et les opérations et une pour les passagers dédiés.

Sur 900 m², l’aéroport comprendra « une zone d’accueil, de stockage, un espace réservé aux activités de restauration ou de restauration ». Le tout pour le plein « espace modulable et évolutif (partie mobile, etc.) qui peut également être assorti d’éléments d’accueil/VIP ». Les entrées de cette gare doivent permettre la distribution des véhicules d’urgence, du carburant, mais aussi, rappelle le centre « les bus de voyage, les avions et les véhicules VIP ».

On peut imaginer qu’il est fermé d’avril à octobre, pendant la saison et ouvert le reste de l’année.

Accès limousines, traiteurs et événements VIP

Accès limousines, traiteurs et événements VIP

Jean-François Suhas, président du Cruise Club

Outre le port, le port est également considéré comme un « terminal à ciel ouvert » permettant « la lumière, mais la communication s’effectue entre le Major, le J4 et le boulevard ». Pour ce faire, le port verra une « pergola ou ombrière ». Mais celui-ci ne s’ouvrira que lorsqu’aucun bateau ne sera arrêté, mettant l’accent sur l’appel de la compétition. « En fait, ce sera souvent ouvert, aime à croire Jean-François Suhas. On peut imaginer qu’il est fermé d’avril à octobre, pendant la saison et ouvert le reste de l’année. Enfin, à l’automne 2023 / automne 2024 , le salarié sélectionné « aura également la possibilité de faire évoluer les services éphémères du site internet pour recevoir les navires et objets annexes liés à la tenue à Marseille des Jeux Olympiques (JO) 2024.

Une ouverture du port sur la ville ?

Une ouverture du port sur la ville ?

Au fil des ans, l’ouverture du port à la ville, qui a été décrite comme un État dans l’État, en particulier par de nombreux comtés précédents, a été un thème récurrent. L’Accord Ville-Port, rédigé de longue date, mais dont les promesses n’ont pas été mises en œuvre, est toujours d’actualité. Le directeur du GPMM, Hervé Martel, rappelait récemment à Marsactu son rêve d’ouverture.

Contactée, l’autorité portuaire n’a pas voulu donner de détails sur ce dossier, ni s’enquérir de l’ouverture, estimant que l’appel à candidatures était « très complet ». Côté ville, l’élu économique et adjoint au maire de Marseille au conseil de surveillance du GPMM n’a rien de plus à dire. « On est en train de revoir les modalités », a simplement répondu Laurent Lhardit à Marsactu. Egalement membre du conseil de surveillance du GPMM et présidente d’Euroméditerranée, Laure-Agnès Caradec souhaite que le « partenaire portuaire d’Euroméditerranée, ville et commune dans la sélection des projets, assure l’intégration des villes avec le développement des entrées et alentours ». ” Comme prévu dans la synthèse des offres.

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Mais le GPMM connaît aussi son avenir. Dans le document en question, il rappelait l’importance de « la sécurité du drainage pendant la station debout » et « d’avoir une vision claire et d’améliorer l’accueil et le confort à l’air et au soleil ». Et il conclut : « Pas seulement les passagers (et les équipages du megaycht) mais aussi les usagers de l’esplanade J4 et du boulevard Jacques-Saadé. » Les passagers fortunés et les propriétaires de bateaux doivent avoir l’esprit tranquille. Les Marseillais, ils n’ont plus qu’à espérer que le vent souffle dans le bon sens.

Vous êtes à Marseille et souhaitez découvrir la région le temps d’une journée ? Voici 19 randonnées autour de Marseille que nous vous conseillons !

Parc National des Calanques.

Cassis.

Où aller se promener à Marseille ?

Aix et Provence.

  • Salon de Provence.
  • Parc Régional des Alpilles.
  • Baux de Provence.
  • La Camargue.
  • Calanque et Port d’Alon.
  • Étant une ville romaine au début de notre ère, elle prit le nom de Massilia et continua d’exister en tant que creuset culturel et port de commerce sur la côte sud de la Gaule, préférant Pompée à César, perdant cependant son indépendance. et ses priorités commerciales, notamment au profit d’Arelate (Arles).
  • Pourquoi Marseille Massilia s’appelle-t-elle ? Certains pensent que son nom dérive de l’histoire qu’il a créée : lorsque les Phocéens se sont approchés du rivage, il a finalement lancé une corde à un pêcheur de la plage pour amarrer les bateaux. De cette histoire est né le nom Massalia, deux petits mots grecs : « lié » et « mainci ».
  • « Le Grand Port Maritime de Marseille (GPMM) dispose d’un espace privatif de 20 000 m² combiné à 2 grands quais à proximité directe des bâtiments historiques et emblématiques de Marseille dans le segment Major J4, écrit le port dans un l’appel au concours était publié début décembre sur son site internet et diffusé par nos confrères de TPBM. suggestion, cet appel à candidatures consiste à trouver un salarié de ce lieu d’ici 2026.8

Pourquoi Massalia est devenue Marseille ?

« Le Grand Port Maritime de Marseille (GPMM) dispose d’un espace privatif de 20 000 m² combiné à 2 grands quais à proximité directe des bâtiments historiques et emblématiques de Marseille dans le segment Major J4, écrit le port dans un l’appel au concours était publié début décembre sur son site internet et diffusé par nos confrères de TPBM. suggestion, cet appel à candidatures consiste à trouver un salarié de ce lieu d’ici 2026.9

Cet « utilisateur », prédit le GPMM, pourrait être un expert de la flotte ou un groupe d’acteurs. Tout ce qu’il fait, c’est qu’il a au moins cinq navires et s’arrête en Méditerranée occidentale. Ce batelier peut comprendre un « porteur ». Comme son nom l’indique, c’est une société qui gère la station. C’est le cas par exemple du port de Marseille Provence (MPCT), au nord du port. Celui-ci est géré conjointement par les armateurs MSC et Costa, qui ont créé une société pour le festival.0