74% des entreprises ne prennent plus les vacances d’été et maintiennent une activité quasi normale.

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Les 3 grands axes de réflexion des Français : Réduire les déchets, réduire l’empreinte carbone et accroître l’engagement des salariés dans ces réflexions.

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À leur retour au bureau, 68 % des Français souhaitent principalement plus d’usines, moins de papier et moins de plastique et 65 % de pouvoir de décision en plus dans la stratégie RSE de leur entreprise.

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Les Français profitent-ils de l’été pour développer leurs affaires ?
C’est la question que NooS.Global, plateforme d’engagement RSE et ESG, a posée à 1 002 personnes représentatives de la population française. Une enquête qui montre que loin de se désintéresser de leur entreprise pendant les vacances, les Français réfléchissent aux évolutions possibles et aux moyens de les concrétiser.
« La période estivale a toujours été considérée comme une période généralement plus calme pour la grande majorité des entreprises. Nous voulions savoir si les Français en profitaient pour réfléchir au fonctionnement de leurs entreprises et mettre en place des changements majeurs », a commenté Éric Mangin, PDG et co-fondateur de NooS.Global.

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Fin de fermeture estivale ?
En 2014, 40 % des commerces fermaient l’été. Cette pause estivale semble avoir bien changé en 2022 puisque 11% des Français déclarent que leur entreprise a une activité totalement calme l’été et 15% seulement partiellement. De ce fait, plus de 74% maintiennent une activité quasi normale en juillet et août.
Vacances : se remettre en forme et se remettre en question !
Qu’ils soient actifs ou non, l’été apparaît clairement comme un moment de remise en question pour les Français. En effet, plus de 65% en profitent pour réfléchir aux changements au sein de leur entreprise : 28% le font complètement et 37% un peu.
Trois sujets de réflexion ressortent particulièrement. Ainsi, 78% des Français essaient de trouver des solutions pour réduire les déchets au sein de leur entreprise, 71% pour réduire leur empreinte carbone et 62% pour accroître l’engagement des salariés dans ces échanges. Pour ceux qui ne prennent pas l’été pour imaginer les évolutions possibles de leur société, plus de 85% souhaiteraient que leur entreprise réfléchisse aux axes de changement : 58% pleinement et 27% seulement partiellement.
Comment réduire l’empreinte carbone ?
Quelles sont les aides récupérables sur succession ?
Pour réduire l’empreinte carbone de leur entreprise, 73% des Français privilégient d’abord la voie de la compensation carbone. 59% choisissent de réduire leur empreinte numérique et en troisième solution, la réduction des déplacements professionnels en avion.
Comment organiser cette réflexion ?
Quel est le GIR le plus élevé ?
Réfléchir aux axes d’évolution d’une entreprise n’est pas une mince affaire. Pour organiser cette réflexion, les Français utilisent 3 types d’outils : 78% choisissent d’abord les enquêtes internes, 69% créent un groupe de travail dédié et 67% font un suivi externe. 56% optent également pour des réunions informelles et 42% pour des déjeuners de travail. En revanche, l’ancienne boîte à idées ne semble plus faire l’unanimité avec seulement 33% des voix.
Les Français veulent du concret à la rentrée !
Quelles aides pour GIR 5 et 6 ?
A la question « Qu’aimeriez-vous voir sur votre bureau à la rentrée ? », plus de 68 % ont répondu « des plantes, moins de papier et moins de plastique ». 65% souhaiteraient également avoir plus de pouvoir décisionnel dans la stratégie RSE de leur entreprise et 61% souhaiteraient prouver l’engagement social et environnemental de leur entreprise. Parmi les autres éléments fédérateurs, une remise en cause de l’empreinte carbone des entreprises est attendue par 60% des Français, 59% souhaitent des résultats RSE concrets, 57% souhaitent des événements de sensibilisation tout au long de l’année et 51% plus de temps pour le bénévolat.