Publié le 3 novembre 2022 sur 13.27 Source : JT à 13h00 en semaine
Publié le 3 novembre 2022 sur 13.27.
Le Saint-Laurent, dont l’embouchure est située à l’extrémité est du Québec, au Canada, est l’un des plus grands fleuves d’Amérique du Nord.Le journal de 13H de TF1 est parti à la rencontre de celles et ceux qui ont la chance de vivre sur ces berges majestueuses.
St. Le Saint-Laurent, dont l’embouchure est située à l’extrémité est du Québec, au Canada, est l’un des plus grands fleuves d’Amérique du Nord.
Le journal de 13h de TF1 est parti à la rencontre de ceux qui ont la chance de vivre sur ces rives majestueuses.
En cas de vertige, mieux vaut s’accrocher : une passerelle surplombe la chute Montmorency à une hauteur de 83 mètres, soit 30 de plus que les chutes du Niagara. Quelques touristes français ont eu le courage de s’y rendre. Il n’est qu’à quelques minutes de Québec. Cette chute est le point de départ du périple de l’équipe de TF1 13H, dans le reportage en tête d’article, qui lui fait suivre le cours de Saint-Laurent jusqu’à la bouche.
Le premier arrêt est Kamouraska, un village situé sur la côte sud de Saint-Laurent. Lawrence, et sans aucun doute l’une des plus belles au Québec. Simon Beaulieu y pêche les anguilles dans l’eau du fleuve, un endroit stratégique puisque l’eau douce à ce niveau du fleuve Saint-Laurent. Lawrence devient salé. Les anguilles, désorientées par ce changement soudain, se rassemblent sur les berges, se prennent dans les filets, et se dirigent vers les coffres lorsque la marée se retire.
Plus à l’intérieur des terres, de grands oiseaux blancs percent le ciel, accompagnés d’un bruit assourdissant. Originaires de l’Arctique, les oies des neiges se rassemblent et descendent vers le sud pour y passer l’hiver. Comme leur voyage est long – plus de 5000 kilomètres – ils s’arrêtent en chemin dans les champs de maïs de la région pour reprendre des forces. A condition d’être au bon endroit au bon moment, vous pourrez les apercevoir avant leur grand départ.
Impossible également de parler de la région sans parler du sirop d’érable, puisque le Québec représente les trois quarts de la production mondiale. « On insère un adaptateur dans l’écorce, puis on vient planter la lampe à souder. Un tuyau permet à la sève de s’écouler sur une vingtaine de kilomètres », explique Nathalie Decaigny, copropriétaire de la propriété Acer à Auclair. De petits tuyaux sont reliés à de plus grands qui acheminent le produit vers une ferme. Plus la récolte est tardive dans la saison, plus la couleur du sirop est foncée et plus le goût est fort.
À l’extrémité est du Québec, la baie de Saint-Laurent se dévoile enfin, au niveau du petit village de Percé, qui doit son nom à une énorme falaise de 88 mètres et son arche.
La rédaction de TF1info | Reportage TF1 Antoine de Précigout et Adrien Ponsard
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