Lorsque l’on souhaite remplacer sa voiture, la question de la revente d’une voiture ancienne se pose inévitablement. Et il y a plusieurs écoles. D’ailleurs, pas deux, mais trois ici.
Car ce sont eux qui conduisent leur voiture « jusqu’au bout », mais au final, quand ils l’achètent, ils jettent l’ancienne.
Ensuite, de manière plus classique, il y a ceux qui revendent eux-mêmes leur véhicule et ceux qui le récupèrent.
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Mettre à la casse
Il est vrai qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’un secteur de « revente ». Cependant, vous pouvez toujours gagner de l’argent. En effet, si vous achetez une voiture chez un agent ou chez un concessionnaire indépendant, celui-ci peut vous proposer une offre de remplacement tant que votre voiture fonctionne. Les constructeurs ont souvent des opérations « argus + xx € de reprise », qui permettent de retirer un peu d’argent de la voiture même en fin de vie.
Si vous achetez une voiture à une personne physique, vous devrez contacter un dépanneur qui ramènera votre véhicule dans son centre VHU (véhicule non utilisé). S’il peut tirer profit de votre « épave », il peut vous proposer une somme, souvent très modeste, n’espérez pas plus de quelques centaines d’euros. Le plus souvent, votre voiture sera récupérée gratuitement. Dans le pire des cas, s’il n’y a vraiment rien de votre corps, l’enlèvement vous sera facturé (cent euros).
La reprise par un professionnel
Lors de la commande de votre voiture neuve, qu’elle soit neuve ou d’occasion, un expert, concessionnaire ou concessionnaire peut vous proposer une offre « de remplacement ». En fonction de l’âge, du kilométrage, de l’état et bien sûr du modèle de votre ancienne voiture, cela déterminera la cote d’achat. Elle sera forcément faible car il faudra la restaurer dans la durée et la marge se résorber.
Il s’agit cependant d’une opération simple et rapide, avec un paiement sans risque de se faire voler, car le plus souvent le montant de l’échange est simplement déduit du prix de vente de la voiture neuve. Une fois la valeur d’échange établie, vous remettez la voiture au concessionnaire lorsque vous en récupérez une nouvelle. Il n’y a pas besoin de contrôle technique et il n’y a pas de risque de réclamations ultérieures dues à une erreur cachée, car le professionnel achète « en connaissant les faits », précisément avec sa qualité « pro ».
Désormais, il existe également de nombreuses entreprises qui pratiquent l’achat de voitures «cash» sans avoir à acheter une autre voiture. On voit des annonces mavoiturecash, vendezvotrevoiture ou encore aramisauto. Le principe est exactement le même. Proposition de reprise préalable sur le site internet, accord pour compléter la proposition devant la voiture et paiement rapide et sécurisé.
Revendre par soi-même
C’est le canal le plus rentable pour votre revendeur. En effet, il pourra vendre « au prix du marché » sans subir la décote imposée par les professionnels. Mais ce secteur implique plus d’investissement de votre part. En effet, il vous faudra faire de la publicité, prendre des photos, chouchouter votre voiture pour la rendre la plus désirable possible auprès des clients, passer du temps à organiser et faire des essais. Des contrôles techniques doivent également être effectués pour toutes les voitures de plus de 4 ans.
Mais c’est finalement bénéfique pour les finances, car en moyenne on revend directement 15% plus cher que si on passe par une reprise. Pour une voiture de 10 000 $, c’est un bénéfice de 1 500 $. Rien! Les endroits les plus connus pour revendre votre voiture sont la célèbre pièce La Centrale et juste un bon. Ainsi que autoscout24, paruvendu ou Facebook marketplace.
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C’est pourquoi un contrat de vente est généralement gratuit s’il est signé sous seing privé ou dans une agence immobilière. En revanche, lors de la signature chez un notaire, ce dernier facture en moyenne 150 à 300 euros pour les frais de rédaction de l’acte et est généralement payé par l’acquéreur.
Quel est le prix d’une promesse de vente ?
Le prix habituel pour préparer et signer un compromis de vente devant notaire est compris entre 200 € et 300 €. Ce prix varie probablement d’un office notarial à l’autre.
Quel est le montant du contrat de vente ? Il est courant que le vendeur demande à l’acheteur de payer une partie du prix (généralement entre 5 et 10% du prix du bien) lors de la signature du compromis. Il n’y a pas vraiment de seuil minimum, mais il est sage de toujours demander un montant qui détermine l’engagement des clients.
Comment obtenir une promesse de vente ?
Il ne nécessite pas d’enregistrement fiscal. Pour résumer, la promesse de vente peut donc être signée : devant notaire (sous forme d’acte authentique) entre particuliers, sans notaire (sous forme d’acte sous seing privé)
Qui peut promettre une vente ? Tout comme un contrat de vente, une promesse de vente peut être rédigée et signée sans intermédiaire : on parle alors de signature sous seing privé. Selon l’importance des intrants, il est courant de faire appel à un notaire ou à un agent immobilier.
Comment se fait une promesse de vente ?
Dans une promesse de vente (aussi appelée « promesse unilatérale de vente »), le propriétaire (nommé débiteur) engage l’acquéreur (nommé bénéficiaire) à lui vendre son bien à un certain prix. Elle lui donne ainsi une « option » exclusive pour un temps limité (généralement trois mois).