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Crise économique : les risques ont augmenté pour 1 entreprise sur 3 en 2022
Baromètre QBE OpinionWayArticle lu 2533 fois, depuis sa publication le 01/02/2023 à 10:55:13 (longueur : 7771 caractères) Cette année, la 6ème édition du baromètre QBE de la gestion des risques des PME et ETI françaises enregistre une augmentation du niveau de risque pour un manager sur trois (33%).
Une enquête a été menée par téléphone du 12 au 30 septembre 2022 auprès d’un échantillon de 302 managers, CFO, risk management managers, d’entreprises privées de 50 à 4 999 salariés. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas en tenant compte des critères de taille d’entreprise, de secteur d’activité et de région d’implantation. Les résultats ont été pondérés selon ces mêmes critères.
Après une année 2021 marquée par l’optimisme des dirigeants, le niveau de risque enregistré cette année est considéré comme l’un des plus élevés après 2020 pendant la crise sanitaire (46%). Entre la guerre en Ukraine, la crise énergétique et l’inflation, la situation économique a surtout un impact sur les risques financiers et humains. En effet, le baromètre enregistre notamment une baisse du moral des salariés et une hausse des démissions. Face à l’augmentation de ces difficultés, la gestion des risques s’impose comme le deuxième pilier sur lequel repose le plus la compétitivité des entreprises (44%) après le (16% vous avez lu, c’est encore à lire 84%, de l’article cette). …Cet article est réservé aux abonnés RiskAssur-hebdo Privilège Vous êtes déjà abonné, pour vous identifier, cliquez ici Abonnement 1 semaine à 10 euros TTC, en cliquant ici
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Crise économique : les risques ont augmenté pour 1 entreprise sur 3 en 2022
Point de vue du baromètre QBE
L’article a été lu 2533 fois, depuis sa publication le 02/01/2023 à 10:55:13 (longueur : 7771 caractères)
Cette année, la 6e édition du baromètre QBE de la gestion des risques des PME et ETI françaises enregistre une hausse du niveau de risque pour un dirigeant sur trois (33%).
Une enquête a été menée par téléphone du 12 au 30 septembre 2022 auprès d’un échantillon de 302 managers, CFO, risk management managers, d’entreprises privées de 50 à 4 999 salariés. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas en tenant compte des critères de taille d’entreprise, de secteur d’activité et de région d’implantation. Les résultats ont été pondérés selon ces mêmes critères.
Après une année 2021 marquée par l’optimisme des dirigeants, le niveau de risque enregistré cette année est considéré comme l’un des plus élevés après 2020 pendant la crise sanitaire (46%). Entre la guerre en Ukraine, la crise énergétique et l’inflation, la situation économique a surtout un impact sur les risques financiers et humains. En effet, le baromètre enregistre notamment une baisse du moral des salariés et une hausse des démissions. Face à l’augmentation de ces difficultés, la gestion des risques s’impose comme le deuxième pilier sur lequel repose le plus la compétitivité des entreprises (44%) après le (16% vous avez lu, c’est encore à lire 84%, de l’article cette).
Cet article est réservé aux abonnés RiskAssur-hebdo Privilège
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