Saïd Ennjimi, président de la ligue de football de Nouvelle-Aquitaine…

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Written By MilleniumRc

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Dans une interview accordée à LFNA TV, le diffuseur officiel de la Ligue de football de Nouvelle-Aquitaine, le président Saïd Ennjimi a reconnu avoir perdu son permis de conduire après un test antidopage positif.

Les confessions sont claires, concises et précises. Dans une interview « exclusive » accordée à la chaîne officielle LNFA TV, financée par la Ligue de football de Nouvelle-Aquitaine, et mise en ligne le 29 novembre, Saïd Ennjimi, le président de la Liga Néo-Aquitaine, a tenu à apporter une drôle de preuve de sa la vie.

« Il y a dix-huit mois, j’ai perdu mon permis de conduire pendant six mois car, malheureusement, j’ai succombé à la réputation du cannabis », explique Saïd Ennjimi dans cet entretien. Je l’ai fumé, je l’avoue humblement. Je n’étais pas conscient des conséquences. J’ai récupéré mon véhicule quelques jours plus tard et wum, j’ai été testé positif. C’est le traumatisme qui est le mien aujourd’hui. »

Lors de cet entretien à Limoges, le patron régional du football avait alors expliqué vouloir « intervenir et témoigner » sur ce qui lui était arrivé. « Je veux m’impliquer dans des campagnes contre l’addiction », poursuit-il. Je veux apporter mon témoignage et me rapprocher de certaines associations.

Une prise de cannabis pour des douleurs au genou

Saïd Ennjimi, 49 ans, apporte même quelques précisions dans un article de na.media : « C’est une de ces soirées de début de printemps où l’on se retrouve entre amis… partager des moments conviviaux, un bon repas, quelques verres, puis à la fin de le repas, un cigare pour certains, un petit joint pour d’autres, le tout souligné d’un bon « Digeo ». Avant de revenir sur les raisons pour lesquelles il a pris du cannabis pour lui faire oublier sa douleur au genou : « C’était particulièrement ponctuel car ça faisait des années que je n’avais pas fumé, je me suis revu quand j’avais 15-16 ans. Et puis je me souviens avoir lu dans un média que de plus en plus de gens l’utilisaient comme analgésique. Le nombre d’analgésiques qui ne soulagent plus la douleur de mon genou, pour lequel j’ai eu une procédure difficile et de longs mois de soins… Cette connerie de ma part m’a profondément traumatisée. »

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