M. Belliard en est persuadé, « la chaleur écrit le dernier chapitre de sa vie » à Paris ; dit-il après 3 mois. Mais il regrette aussi que la plupart des « trottinettes électriques vers lesquelles se tournent les consommateurs, soient encore majoritairement des motos importées, notamment en Chine ». M. Belliard était donc conscient du marché actuel de l’électricité (rappelez-vous : c’était une époque !), mais aussi du pouvoir d’achat des usagers parisiens, qui n’habitent pas tous les beaux et hauts quartiers. De plus, cette décision parisienne est tout à fait bénéfique aux constructeurs d’origine chinoise, puisque si aujourd’hui à Paris on vend plus de voitures électriques que de chaudières (Source AAA) c’est bien le résultat de cette décision du Conseil de la Ville…
Autres chiffres mis en avant :