Top 35+ meilleurs films de 2022, notre classement ultime

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Written By MilleniumRc

Rédacteurs passionnés de culture, d'actualité et nouvelles de tout genre

ANLALA le meilleur film tant attendu de l’année est arrivé mes petits amis. Nous sommes là pour vous parler de nos films préférés de 2021, enfin cette année. Vous trouverez des films que vous avez aimés (espérons-le), des films que vous avez détestés (désolé) et des films avec lesquels vous n’avez rien à voir (la vie est si dure). En attendant, préparez-vous du riz pour le thé et passez un bon moment.

Sommaire

She said, de Maria Schrader

Le plus gros succès de l’année. Un rapport d’enquête mené par Jodi Kantor et Megan Twohey (pour lequel ils ont produit un livre) pour le New York Times sur les nombreuses allégations de viol liées à Weinstein, l’enquête a engendré le mouvement mondial #metoo.

Le plus du film : la rapidité de l’enquête qui nous colle le cul à notre chaise (enfin, si on voyait le film sur la chaise, sinon sur le canapé (enfin, si on voyait le film sur le canapé sinon.) ).

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : le générique, parce que ça voulait dire que c’était fini.

Coupez !, de Michel Hazavanicius

Qui veut voir le pire film de zombies ? Être humain. Par contre, voir comment on fait un mauvais film de zombies est vraiment intéressant et Michel Hazanavicius le fait avec talent. Duris incarne un réalisateur complètement dépassé par les événements, avec des acteurs en carton et une équipe aux mains cassées. Ceci est une marque de Uncut! (2017) de Shin’ichirô Ueda réussit.

Le plus du film : le résultat reste un moment de grâce rare.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : c’est une très bonne adaptation, mais la première était bien au final on voulait cette adaptation française ?

La nuit du 12, de Dominik Moll

La police locale enquête sur le meurtre d’une jeune fille, brûlée vive dans la banlieue de Grenoble. Mais comme le laisse entendre l’encadré au début du film, cette histoire ne sera jamais résolue comme tant d’autres, contrairement aux toujours anodins romans policiers qui inondent nos écrans de télévision. Cette affirmation fait, entre autres, la force du film car chaque suspect pourrait être le tueur, mais l’absence de preuves crée la confusion, voire l’angoisse chez les enquêteurs et les téléspectateurs. A travers les témoignages des suspects et des amis de la victime, c’est aussi une image des violences courantes faites aux femmes et de la critique systématique des femmes victimes. L’un des meilleurs films de Dominik Moll, auteur de Harry, un ami qui vous souhaite bonne chance et Only Beasts.

Best of du film : Bastien Bouillon, Bouli Lanners, Anouk Grimberg, je t’aime, venez dîner chez vous le jour de l’an.

La partie inférieure est meilleure pour le film mais pas tant que ça : C’est qui ce putain de tueur ??!! Julie Lescaut, Derrick, Corine Touzet font tout !

Leila et ses frères, de Saeed Roustaee

Le réalisateur de la terrible Loi de Téhéran, Saeed Roustaee, revient avec ce film qui mêle amusement, drame familial dans un Iran aux prises avec le poids de la culture patriarcale et où l’on voit l’importance des femmes dans une société qui ne cesse de les mettre dedans. la situation devant des hommes égarés et des lâches. Sans aucun doute, l’un des meilleurs films de l’année.

Le meilleur du film : Le casting incroyable, Taraneh Alidoosti en tête, star iranienne et courageuse oratrice de la contestation féministe en Iran qui vient d’être arrêtée après avoir manifesté son soutien à la contestation depuis la mort de Mahsa Amini.

La partie un peu meilleure du film mais pas la pire : Peu de spectateurs de ce film !

Everything Everywhere All At Once de Daniel Scheinert et Daniel Kwan

Véritable événement aux États-Unis, EAAO, comme on l’appelle, cherche la variété dans un film intéressant qui a le caractère de n’impliquer aucun homme-araignée ou Sherlock enfermé. De plus, il utilise cet argument pour exposer l’image d’une femme asiatique de 50 ans à travers un drame familial. Véritable prouesse technique, le film joue en mouvement et fait la part belle à la performance de Michelle Yeoh, la star du cinéma hongkongais et montre le retour de Ke Huy Quan, laissé enfant par Indiana Jones.

Le meilleur du film : Jamie Lee Curtis, qui se bat pour Hollywood pour transformer des actrices plus âgées sans jamais en faire trop, passe une journée sur le terrain à rendre un formidable hommage.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : Bon j’avoue, j’agis comme ça devant mes amis. Mais je n’ai pas tout compris. C’est bon! C’est assez ??? Ça arrive.

Revoir Paris, de Alice Winocour

Mia, victime d’un attentat terroriste amnésique, tente de récupérer des morceaux de sa mémoire pour se remémorer ce qui s’est passé dans le café. Virginie Efira, qui détient le record des films sortis en 2022 à égalité avec Léa Seydoux, se penche sur ce film qui évoque les attentats de Paris, avec douceur et humilité. Réalisé par la talentueuse Alice Winocour, auteur de Proxima (2019).

Le plus du film : Le manque de plaisir qu’on aurait craint au profit d’une histoire intimiste sur le chagrin et la force d’Efira, que l’on retrouve film après film.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : Pourquoi Léa Seydoux n’est pas dans le film ? Bizarre, peut-être une erreur.

As Bestas, de Rodrigo Sorogoyen

Un de mes coups de coeur de l’année. C’est une aventure intense où le conflit entre Antoine et Olga (paysans français) et leurs voisins d’un petit village espagnol s’intensifie de minute en minute et vous fera transpirer.

La meilleure partie du film : les mauvais endroits, comme c’est beau, on en oublie presque les voisins effrayants.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal non plus : Rien. Ne m’ennuyez pas.

Sans Filtre, de Ruben Östlund

Carl et Yaia (ont été joués par Charb Dean Kriek et les plus grands films même lorsque le film est sorti avec le meilleur film. Le voyage est grippé lorsque le personnel se retrouve attaqué par l’ivresse est réuni pour l’avaler (vraiment) sur les lieux de l’activité scatologique. La tempête mortelle va changer la capacité de survie des survivants lorsqu’ils tentent de vivre sur l’île du désert.

La meilleure partie d’un film: qui a réuni l’expérience de style, mémorable.

C’est un peu mieux du film mais pas le pire non plus : les riches critiquent les riches, au final ne peut-on pas encore être dans l’isolement ?

Bullet Train, de David Leitch

L’impair de l’année, Bullet train est un terrible film de cascades, de rires, de kands, de bandes bond journal dans la fosse supérieure (Aaron Taylor Johnson) sur le train japonais lancé. Amusement amusant amusant amusant.

Le plus du film : Belle publicité pour le Shinkansen, le TGV japonais qui a l’air bien plus cool que le nôtre… Inoui.

C’est un peu mieux le film mais pas trop mal : ne pas utiliser pour ce membre permet de méditer, de réfléchir et de critiquer : du cerveau. Ouais, eh bien, si vous vouliez un film intellectuel, vous devez revenir.

Saint Omer, de Alice Diop

Certainement l’une des scènes de films expérimentaux les plus étonnantes du cinéma. C’est un film dur. Lent. Silence. Et pourtant c’est lourd comme ça peut emporter notre sympathie pour cette jeune maman qui a pris l’étrange décision de laisser son bébé de quelques mois sur la rive nord en attendant que la mer se lève et l’emporte. Le bébé au sang froid a une raison que l’on va essayer d’effleurer sur les écrans, imprimés de manière écolo.

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Le meilleur du film : Guslagie Malanda est complètement folle dans ce rôle déchirant.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : comme la mère de l’auteur, pour être honnête on a vu une bêtise.

The Chef, de Philip Barantini

A ce stade de ma vie je pense pouvoir dire clairement que je suis amoureuse de Stephen Graham (que l’on a découvert récemment dans l’excellente série Arte Virtues et récemment dans Ino England). Dans ce film tourné en séquence, il incarne le chef d’un grand restaurant le soir du « vendredi magique », le jour le plus tentant puisque c’est le jour où les restaurants reçoivent le plus de visiteurs. Entre disputes en cuisine, brutes qui influencent les clients, critiques gastronomiques et allergies, il y a de quoi souffrir d’une forte augmentation du stress. Et on change de langue…

Le plus du film : la prouesse technique du plan séquence qui nous montre encore une fois un film très technique dans un environnement ultra stressant.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop non plus : la fin m’a bluffé. Je ne dis pas qu’il n’est pas bon. Je dis juste qu’il m’a fini.

Nope, de Jordan Peele

Jordan Peele, qui semble n’avoir rien, est en train de devenir l’un des plus grands réalisateurs de son époque, a travaillé pour nous un nouveau film qui est aussi très dérangeant. Dans un village lointain au milieu d’une vallée, un étrange être céleste suce les gens. Le reste doit être trouvé.

La meilleure partie du film : toujours le ton nous fait rire même dans des situations effrayantes.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : je n’ai pas compris la nature de la créature.

Un Monde, de Laura Wandel

Le monde des enfants est loin d’être agréable et confortable. Dans ce film d’horreur, nous suivons la jeune Nora qui entre pour la première fois à l’école primaire et regarde, impuissante, son frère se faire intimider. Il est difficile de l’aider alors qu’il tente de s’intégrer dans un groupe de camarades hostiles. Attendez, c’est un film déchirant qui ouvre une fenêtre bien nécessaire sur la violence de l’intimidation à l’école et la difficulté que rencontrent les adultes pour la combattre.

La meilleure partie du film : bien choisie et bien dirigée.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : je n’ai rien compris, je sais déjà pourquoi j’ai fait ce rôle.

Un autre monde, de Stéphane Brizé

Rien à voir avec le film précédent, Stéphane Brizé vient ici clôturer sa terrible trilogie autour du monde du travail (après Loi du marché et En guerre). Vincent Lindon représente l’actuel propriétaire d’entreprise qui doit atteindre des objectifs de rentabilité impossibles. Comme toujours, nous ressortons en colère et prêts à lutter contre le système capitaliste qui écrase les âmes des pauvres que nous sommes.

Le meilleur du film : Marie Drucker est très convaincante dans le rôle d’une prostituée à qui on doit répondre.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : toujours cette partie a trop de larmes pour les acteurs de Brizé. En l’occurence, ce patron est en difficulté dans un divorce et a un fils qui se retrouve en HP, il lui manquerait tellement qu’il se fait piquer son chat, c’est bien qu’on ait compris que la vie faisait peur à Stéphane au bout d’un moment, attendez. nous Brizé (MDRRRRRRRRRR chui dans la même humeur).

Novembre, de Cédric Jimenez

Il n’est pas facile de faire un film sur l’attentat de 2015, mais Novembre a relevé le défi en en faisant un film d’investigation sur la traque d’Abaaoud durant les cinq jours suivants, provoquant l’occultation du siège de Saint-Denis. . Ce film évite tout sensationnalisme, évoque les attentats sans les montrer et s’attarde sur le travail des policiers avec prudence et en fait un contre-la-montre époustouflant rappelant les films de Greengrass (Flight 93, Captain Philips) où les émotions sont présentes mais ne tombent jamais dans le pathétique. .

Le meilleur du film : Une bonne partie du film est le personnage de Lyna Khoudri qui rend hommage au courage de cette femme qui a permis de trouver un endroit où se cacher et qui lors de son témoignage au procès de l’attentat a confirmé que malgré le danger qu’elle court encore aujourd’hui, elle recommencerait sans hésiter.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : On regrette que Patrick Braoudé, le sosie de Hollande dans les trois films, ne soit pas vu dans celui-ci.

Rien à foutre, de Emmanuel Marre et Julie Lecoustre

Adèle Exarchopoulos incarne Cassandre : une hôtesse de l’air de 26 ans qui travaille dans une entreprise chère. On suit son quotidien, sa fatigue, son lieu désagréable sans aucune forme d’attachement. C’est une histoire déprimante, à moitié drôle, qui montre bien ces boulots non rémunérés, signes d’une mondialisation en déclin et d’une jeunesse sans rêve.

Le plus du film : Adèle Exarchopoulos livre une prestation brillante, difficile de ne pas s’attacher à ce personnage qui n’est attaché à rien.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : au final, que se passe-t-il dans ce film ? Pas beaucoup. C’est pareil dans nos vies.

Licorice Pizza, de Paul Thomas Anderson

Une histoire d’amour dans les années 1970 non loin de Los Angeles entre deux jeunes gens, Alena Kane et Gary Valentine, un drôle de couple qui peut tout faire et nous captiver par leur folie et leur relation extraordinaire.

Le plus du film : des couleurs de carrosserie qui se démarquent des canons actuels de la beauté et du cool.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal non plus : les cheveux longs (la pire critique, impossible pour moi de décrocher un poste aux Cahiers du Cinéma).

The Batman, de Matt Reeves

Kurt Cobain est triste parce que son père et sa mère ont été tués quand il était jeune, alors il s’habille dans un hôtel de Tokyo pour arrêter le plan de Colin Farell avec un homme mystérieux.

Le plus du film : L’ambiance dark fun est proche des meilleurs comics justiciers, elle n’a jamais été reproduite jusqu’à présent.

C’est un peu mieux pour le film mais pas grand chose non plus : qu’est-il arrivé au chat de Catwoman à la fin sur la moto du cimetière ???? Il marche comme ça, ma fille. Un très mauvais exemple pour notre jeunesse.

Annie Colère, de Blandine Lenoir

Il y a quelque temps nous avions les droits du film L’Événement, une adaptation de l’histoire d’Annie Erneaux sur son avortement clandestin, l’histoire était traitée dans le froid, jusqu’à l’intervention chirurgicale. Dans un autre genre, on a ce petit ornement de fin d’année de l’incomparable Laure Calamy, une jeune ouvrière des années 70 qui participe aux actions d’une association qui offre la possibilité d’avorter en silence, oui, mais une bonne situation. On retrouve non seulement les premières méthodes efficaces d’avortement (la méthode dite Karman) et l’engagement du syndicat grandit vis-à-vis de ce droit fondamental avant d’aboutir à la loi Veil en 75. C’est intéressant, ça émeut, ça rappelle à quel point fragile ce droit est. est et convient pour la protection des dents et des ongles.

La meilleure partie du film : la merveilleuse Monique (jouée par Rosemary Standley) avec qui vous voulez vous faire avorter tous les jours.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : donnez-nous Zita Hanrot en plus.

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La vraie famille, de Fabien Gorgeart

La famille d’Anna accepte un garçon de six ans (depuis qu’il a 18 mois), mais un jour son père biologique veut retrouver son fils. Anna devrait quitter votre fils et pas étonnant que ce ne soit pas facile. Un film a eu beaucoup de succès dans le problème rencontré par les familles stepfield (nous avons besoin de Jery’s Pipilus de Jery en 2018), frustrant mais intéressant.

La meilleure partie d’un film : L’action la plus haute de Mélanie Thierry comme tous les jours, j’aimerais voir cette personne dans tous les films sur tous les films.

C’est très peu mieux pour le film mais pas trop ou : personne. Je voulais devenir une famille recomposée après avoir vu le film.

The Green Knight, de David Lowery

Le chevalier Gauvin, le descendant du roi Arthur, a voulu jouer sage avec Green Keng et lui a coupé la tête. Mais lorsqu’il passe la tête sous sa main et lui dit que Gauaveain devra subir la même chose dans l’année, notre jeune Chevalier tente de leur prendre la fuite.

La meilleure partie du film : Un beau film est un beau filtre lié et attrayant.

Film un peu mieux mais pas trop mal : Le film est très ennuyeux avec des images de phrases et des blagues.

En Corps, de Cédric Klapish

Enregistrement de petites épingles, Klapish nous livre un nouveau film dans lequel la danseuse doit réduire son corps après la plate-forme accidentelle. Trajectoire classique de la nouvelle naissance physique et de l’habileté au début d’un cas d’amour attendu.

Le meilleur du film : Miliel Robin. Toujours dans Meliel Robin.

Le petit plus tant mieux pour le film mais pas trop mal : Les bonnes personnes jouent mais les vraies personnes jouent mais l’incident des jeunes dormant voir Hip-Hop au 104, ce n’est pas le cas.

Incroyable mais vrai, de Quentin Dupieux

Un des meilleurs films de l’année de Quentin Dupieux (le mec du MDR en sort un tous les deux jours). Une expérience de pensée avec des exercices amusants sous une forme qui se termine rapidement dans les airs (un autre problème de tous ses films après les 20 premières minutes) : imaginez une trappe dans votre maison qui vous permet d’augmenter votre énergie à chaque fois que vous vous croisez physiquement avec quelques . heures quand vous sautez dans le temps de deux jours.

Le meilleur du film : le coq électrique de Magimel, c’est un chef d’oeuvre.

C’est la meilleure partie du film, mais pas la pire non plus : un clip de 15 minutes qui résume une heure du film que Dupieux a clairement eu la flemme de tourner.

R.M.N, de Cristian Mungiu

Après avoir passé à tabac un collègue qui l’a rendu raciste, Matthias quitte l’Allemagne où il travaillait dans un abattoir et retrouve sa femme et son fils dans un petit village de Roumanie. Le village accueille deux ouvriers sri lankais dans une boulangerie industrielle, et s’attire les foudres des locaux. « N.M.R. qui signifie IRM en roumain, nous donne une bonne radioscopie d’une Europe en danger dévorée par les besoins économiques et affectée par sa propagation de la xénophobie. Après des films incroyables dont 4 mois, 3 semaines, 2 jours, Cristian Mungiu nous montre encore à quel point il est un réalisateur talentueux.

Le plus beau du film : la scène du conflit entre les villageois, longue et fastidieuse mais qui a la qualité de bien montrer l’Europe qui s’élargit en son sein.

C’est un peu mieux pour le film mais pas trop mal : beaucoup de choses intéressantes mais parfois on a du mal à voir quel message le film véhicule.

Doctor Strange in the Multiverse of Madness, de Sam Raimi

L’un des plus gros de l’année est danse à plusieurs, on ne comprend pas tout mais reste un très beau film, auteur de Mapudirman : no way home et de Tom Holland. , qui a joué Billy Elliot à Atheater et le fils d’Angwards, fils d’Adwards qui a joué dans Tergencies in Emergencies in the Georges. Clooney a joué un Batman. Cqfd.

Meilleur film : Wanda Maximoff écrase le Phantascan avec ses mains pour mâcher le chewing-gum.

C’est tellement mieux le film mais pas trop mal : Starling war against EVIL STRACTION avec des notes de musique…

Notre Dame brûle, de Jean-Jacques Annaud

HAMENE on ne va pas mentir la meilleure tête. Succès inattendu toutefois pour ce film doté d’une bonne bande-annonce. Et surtout, dans la vraie vie, on s’en fout du pilier brûlé ? Vous comprendrez que je n’ai pas vu de film. Si quelqu’un a quelque chose dont il faut parler, qu’il le dise tout de suite ou qu’il se taise complètement.

La meilleure partie d’un film : Good Event Les événements vous illuminent.

Ce petit mieux pour un film mais pas trop : c’est quoi cette affiche ?

Bruno Reidal – Confession d’un meurtrier, de Vincent Le Port

Radical Film, dont l’hôpital est un garçon de 17 ans, tuant son ami de sang-froid au 20e siècle. Un film palpitant ne doit pas être livré sur tout le front pour sa cruauté précise.

La meilleure partie d’un film : Divori Divé et son visage attristé qu’elle est vraiment comme le meilleur (joueur, Eh, pas son visage).

Le petit plus meilleur film mais pas trop mal : La violence meurtrière a été prise sans stabilité, vraie et triste. Est moins kwaï sur le train à grande vitesse.

Et tous les autres films qu’on a aussi adorés et dont on vous parlera plus longuement dans une autre vie

Barbare, de Zach Cregger

La critique viendra, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé par la construction générale : c’est un bon petit film avec une histoire de monstres et de kidnappings et une maternité très étrange dans la ville de Detroit. Attention : cela enlèvera le lait.

Nightmare Alley, de Guillermo del Toro

Bilan à venir, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé par de nombreuses constructions : au début oui c’est bien mais après c’est lassant. Enfin, je pense, je me souviens de certaines fois où je me suis retrouvé dans le coma après une indigestion de concombre.

The Innocents, de Eskil Vogt

Les critiques viendront, mais pour le moment voici mon sentiment exprimé par beaucoup de construction : les enfants coquins se retrouvent avec de grands pouvoirs, il ne faut pas leur donner le goût.

Red Rocket, de Sean Baker

Les critiques viendront, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé avec beaucoup de construction : drôle cette ancienne star du X pour beaucoup. Quoi qu’il en soit, il est le directeur du Florida Project et cela devrait vous suffire pour le vérifier.

L’innocent, de Louis Garrel

La critique viendra, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé avec plus de construction : c’est bien si mon avis vous plaît, mais surtout parce qu’au fond je suis amoureuse d’Anouk Grimberg (comme je l’ai dit plus haut si vous avez bien lu.)

Les Cinq Diables, de Léa Mysius

Bilan à venir, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé par de nombreuses constructions : après Nothing Fucks et ce film, je suis sur le point de me réconcilier avec la pièce d’Adèle Exarchopoulos.

A plein temps, de Eric Gravel

Bilan à venir, mais pour l’instant voici mon ressenti exprimé avec plus de construction : écoutez-moi à partir du moment où Laure Calamy joue dans le film, j’y vais.

Avatar 2, de James Cameron

Nous gardons le meilleur vin bien sûr. Je ne l’ai pas encore vu mais ça a l’air fou. Je vous donnerai mon avis prochainement.