A Blagnac on connaît la cycliste itinérante Patricia Bourgeais, qui avec son mari Jean-François a fait plusieurs voyages de Rennes à Lannion, puis de Nantes à Hendaye et dernièrement de Nantes à Strasbourg. (La Dépêche du 23 octobre 2022). Mais c’est pour le dessin, une autre de ses passions, que cette Blagnacoise devient parfois toulousaine en rejoignant les Urban Sketchers de Toulouse. Ces street designers néophytes ou confirmés se retrouvent une fois par mois le dimanche pour croquer la vie urbaine sur le vif. « Il faut oser dessiner en public d’abord, mais ensuite c’est super, on apprend beaucoup en observant les autres. Parfois, des passants et même des enfants se joignent à nous », s’amuse-t-elle. C’est dans le cadre professionnel que cet ingénieur d’Air France, actuellement à la disposition du Rectorat de l’Académie de Toulouse pour leur projet IPE (Ingénierie pour l’Ecole), a découvert le pouvoir du dessin comme outil pédagogique. Il y a une dizaine d’années, alors qu’elle était coach d’équipe, elle a suivi un cours de « facilitation graphique » pour apprendre à mieux communiquer par le visuel. C’est une révélation et un déclic pour elle. Dès lors, dans toutes les réunions qu’elle anime, elle utilise des croquis et autres signes graphiques pour mieux faire passer les messages. Mais Patricia veut que ses dessins soient beaux, et pour se perfectionner, elle intègre les Beaux-Arts de Toulouse (IsdaT) et les cours du soir pour adultes de Raphaël Larre, où elle rencontre Urban Sketchers. La nécessité et le plaisir de dessiner ne l’ont jamais quittée et l’ont même accompagnée dans ses voyages, qu’elle embarque désormais à vélo, après avoir parcouru le monde en avion avec sa famille. Et c’est dans des carnets de voyage, semblables à des romans graphiques, que Patricia laisse libre cours à sa créativité.
A Blagnac on connaît la cycliste itinérante Patricia Bourgeais, qui avec son mari Jean-François a fait plusieurs voyages de Rennes à Lannion, puis de Nantes à Hendaye et dernièrement de Nantes à Strasbourg. (La Dépêche du 23 octobre 2022). Mais c’est pour le dessin, une autre de ses passions, que cette Blagnacoise devient parfois toulousaine en rejoignant les Urban Sketchers de Toulouse. Ces street designers néophytes ou confirmés se retrouvent une fois par mois le dimanche pour croquer la vie urbaine sur le vif. « Il faut d’abord oser dessiner en public, mais ensuite c’est super, on apprend beaucoup en observant les autres. Parfois, des passants et même des enfants s’y mettent », s’amuse-t-elle. C’est dans le cadre professionnel que cet ingénieur d’Air France, actuellement à la disposition du Rectorat de l’Académie de Toulouse pour leur projet IPE (Ingénierie pour l’Ecole), a découvert le pouvoir du dessin comme outil pédagogique. Il y a une dizaine d’années, alors qu’elle était coach d’équipe, elle a suivi un cours de « facilitation graphique » pour apprendre à mieux communiquer par le visuel. C’est une révélation et un déclic pour elle. Dès lors, dans toutes les réunions qu’elle anime, elle utilise des croquis et autres signes graphiques pour mieux faire passer les messages. Mais Patricia veut que ses dessins soient beaux, et pour se perfectionner, elle s’inscrit aux Beaux-Arts de Toulouse (IsdaT) et aux cours du soir Raphaël Larre pour adultes, où elle rencontre Urban Sketchers. La nécessité et le plaisir de dessiner ne l’ont jamais quittée et l’ont même accompagnée dans ses voyages, qu’elle embarque désormais à vélo, après avoir parcouru le monde en avion avec sa famille. Et c’est dans des carnets de voyage, semblables à des romans graphiques, que Patricia laisse libre cours à sa créativité.