Poste clé s’il en est, le renfort du navire peut se renseigner sur l’achat d’une unité d’occasion si celle-ci s’avère défectueuse. Car, bien souvent, les modifications à apporter au niveau du comportement du système sont si coûteuses qu’elles en deviennent rédhibitoires. Encore faut-il pouvoir mettre en lumière ces défauts, dans une zone peu visible à l’œil nu.
S’il y a une chose importante dans l’achat d’un bateau, c’est sa structure, c’est-à-dire sa base où sont placés ses ponts ou ce qui a été modifié. La vraie vie du bateau, ces choses agissent comme des renforts internes pour pouvoir résister aux problèmes rencontrés en navigation, comme le passage des vagues ou le mouvement du moteur, en l’occurrence sur les bateaux.
Ils sont de deux types : les plaques de plancher, issues de l’architecture traditionnelle, que l’on trouve plus souvent sur les grandes unités, et les comptoirs, plus récents et plus courants sur les petits navires ou qui figurent dans la liste principale. De plus en plus petits, les supermarchés, quand ils sont étiquetés au col, apportent aussi leur part à ce décor et, donc, un peu coriace.
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Savoir reconnaître varangues et contre-moules
• Les varangues
Les varangues se font généralement directement sur le sol. Ils comprennent dans cette grande famille longerons, charpentes et pièces (plus forte hauteur). Ce « squelette » offre la stabilité souhaitée et forme un axe oméga sur le panier lui-même.
Ensuite, le chantier ajoute des équipements. Les varangues sont généralement en bois (massif ou stratifié), parfois en mousse de polyuréthane et collées ou collées. Il vaut mieux être prudent devant les feuilles de contreplaqué, car ce matériau est sensible à l’eau ; cette faiblesse peut être aggravée par la structure même du PC, qui est formée de plis pouvant fragiliser la structure.
Le danger vient de la chaleur à l’intérieur de la base et qui est dangereuse en faisant pourrir, gonfler, éclater ou éventuellement exploser ces pièces. De plus, il est nécessaire de vérifier les planchers à leur extrémité, pour trouver tout type de perforation, fissure ou déformation avec le bordage, à la suite de secousses.
• Les contre-moules
Plus récentes que les planchers, les conceptions modulaires permettent aux chantiers de gagner du temps tout en réduisant les coûts de fabrication, et agissent comme renfort structurel. Collés ou contrecollés au socle, généralement en plusieurs parties, les entretoises apportent une belle finition et assurent la résistance structurelle requise.
De plus, ils facilitent le travail du port lorsqu’ils proposent de nombreux types (deux ou trois maisons, avec ou sans salle de bain, etc.). La seule chose qui se passe lors d’un achat d’occasion, c’est qu’il est difficile, voire impossible, de contrôler l’étanchéité et l’état de la connexion, cachée derrière le design-moule. Ses dommages peuvent également être dus à une perte de temps ou à un retrait, ainsi qu’à des signes de douleur.
Autre problème de conception : en cas de remodelage, le coût augmente rapidement, car la plupart des équipements et des réseaux doivent être supprimés, tout ou partie de la conception est détruite et tout ce qui a été reconstruit.
Redan, virures et autres renforts extérieurs
Qu’il s’agisse de marches, virures ou autres bouchains, ils contribuent à leur manière à l’impression générale. Comme le souligne Pascal Marty : « Après tout, sur de nombreux hippodromes, on voit un petit pas devant. C’est une brique de construction qui lie la poutre. »
Il en va de même pour les canaux qui ont été conçus à l’origine pour détourner l’eau et augmenter la stabilité du navire. « Mais ils agissent aussi comme un protecteur à long terme », précise Pascal Marty. Des griffes peuvent être ajoutées au récipient, tandis que d’autres sont fabriquées dans un moule.
Certains sont remplis de trous. Pour ces derniers, il est surtout important de surveiller leur état et les éventuels signes de fissuration, afin d’éviter les entrées d’eau et la pourriture qui l’accompagne.
Enfin, il existe des marches – appelées marches intermédiaires – qui se trouvent sur la disposition verticale des crochets, toujours à l’extérieur. Aussi, ils apportent de la rigidité, alors qu’ils permettent au chantier de réduire l’épaisseur des ouvrages et pièces morts, le but est de placer le sol et les équipements en hauteur.