VIDÉO. Lot : à 87 ans, elle a parachuté Valérie Pécresse

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Du parachutisme pour soutenir Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle ? Il a été réalisé pour Josette Marchais, qui a 87 ans.

Soutenir « la petite » 

« Mon sac est trop lourd pour être porté par moi-même ! » Pas de problème, la combinaison spéciale lui est donnée. A 87 ans, la retraitée Josette Marchais s’apprête à sauter en parachute mardi après-midi depuis l’aérodrome de Cahors. Et pas à chaque occasion. « Je le fais pour Valérie Pécresse. L’élection présidentielle est le meilleur moment pour le faire », a déclaré le vétérinaire.

Valérie Pécresse est ce que Josette Marchais appelle affectueusement «  la petite ». Ils se sont rencontrés en 2002, et une amitié est née entre les deux femmes. « Je l’ai soutenue lors de ses premières élections législatives. A cette époque, elle était en charge de la mission de l’Élysée. Je l’ai aidée à la faire revenir comme députée, maintenant il faut que je la fasse revenir  », a-t-elle déclaré en souriant Josette. Et ce, en fait vingt ans plus tard.Il aime tout chez le candidat LR, mais surtout le fait qu’il soit « droit dans les bottes ».

Alors, Josette Marchais a décidé de fabriquer un parachute. « Valérie Pécresse, j’étais mise ! s’amuse l’octogénaire, pour qui c’est le premier saut.

Préparation minutieuse

Elle arrive de Paris le matin même, sous les conseils de son « fils adoptif », Claude Lamir, et de son tandem, Philippe Matonnier dit Philou du monde des parachutes, qu’elle quittera.

«  On a l’impression d’y être  », dit le parachutiste en déposant son équipement. Josette Marchais, fière de porter son t-shirt Valérie Pécresse, a répondu : « C’est l’heure ! »

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Lors de sa préparation, il n’y a aucune crainte. «  J’ai entièrement confiance en mon guide  », souffle-t-elle. Vous devriez apprendre tous les gestes techniques de Philippe Matonnier. Tout y passe, du placement des mains au départ du saut au placement des pieds à la réception. «  J’espère que je n’oublierai pas ce qu’il m’a dit », rit-elle avant de baisser gentiment son cou.

Baptême de l’air réussi

Josette est sur le point de prendre le dernier vol de la matinée. En même temps, assise sur une chaise bleue, les yeux fixés sur les autres soldats, elle interrogeait Claude Lamir, qui se trouvait à proximité. Leurs noms sont appelés au micro : c’est l’heure du grand saut. Josette Marchais marche avec confiance vers l’avion.

Un peu plus de 10 minutes plus tard, de retour sur la piste, elle dit mystérieusement : «  J’étais sur un petit nuage, c’était incroyable. Pendant le saut, des fumigènes aux couleurs françaises ont été placés dans le ciel bleu. Marchais annonce : «  Valérie présidente ! »