Architectes de haut niveau ou jeunes ingénieurs à la créativité débridée ont tous accepté de nous ouvrir leurs cartons et leurs disques durs. Pour partager des projets low-tech ou high-tech, plausibles ou carrément futuristes, bref, pour nous faire un peu rêver !
DÉJÀ À L’ORIGINE DES Sailscow 37 (en construction chez Jean-Michel Link) et 40, Gildas Plessis est resté et a signé avec ce croiseur d’exploration en aluminium. C’est un bateau capable d’aller loin, d’atterrir dans 40 cm d’eau, de côtoyer la glace, et conçu pour vivre confortablement à bord en couple.
Construction en aluminium pour cette carène de chaland raisonnable, c’est-à-dire un bau moins extrême par rapport aux générations de croiseurs d’il y a dix ans, dont le gonflage de la forme arrière ne répond pas à la question au vent, mais seulement aux exigences toujours croissantes de volume intérieur. « Avec un maussade « à la Duggan (1895) », souligne Gildas Plessis, on trouve un très bon équilibre en tilt, on ne perd pas le vent, on s’éclaire contre le vent ! Sam Manuard a tempéré son exposition en IMOCA pour la même raison. Les chalands plus étroits fonctionnaient mieux que les croiseurs super larges: cela peut être facilement compris en observant l’inclinaison de la coque lorsqu’elle s’incline. « Apeiron arrive en fin de conception et pourrait trouver un client et un constructeur d’ici la fin de l’année… A suivre !
EN CHIFFRES
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